Avec 23 ouvertures prévues, Meliá Hotels International poursuit l'expansion de ses marques de luxe et lifestyle.
Meliá Hotels International – le troisième plus grand groupe hôtelier d'Europe – s'apprête à connaître une accélération significative de ses marques de luxe et de lifestyle, avec 23 nouvelles ouvertures confirmées pour 2026. De l'Asie du Sud-Est à l'Amérique du Sud, de l'Europe à l'océan Indien, Meliá apportera son hospitalité espagnole emblématique à certaines des destinations les plus captivantes (...)
Hyatt nomme Tamara Lohan à la tête de ses marques de luxe ; dévoile un aperçu d'ouvertures extraordinaires dans le monde entier.
Hyatt Hotels Corporation (NYSE : H) a annoncé aujourd'hui à l'ILTM Cannes le prochain chapitre du parcours de Hyatt dans le luxe, dévoilant un renforcement de sa direction avec la nomination de Tamara Lohan au poste de Global Brand Leader – Luxury, à titre provisoire et présentant un remarquable portefeuille d'ouvertures de luxe prévues pour 2026.
L'élan de Hyatt dans le (...)
Google vient de publier son bulletin de sécurité de décembre 2025 et c’est pas joli joli. Au programme, 107 vulnérabilités corrigées dont deux 0-day activement exploités dans des attaques ciblées. Donc si vous avez un smartphone Android, allez vérifier vos mises à jour immédiatement !
Les deux failles qui posent problème s’appellent CVE-2025-48633 et CVE-2025-48572. La première permet de voler des informations sur votre appareil et la seconde offre une escalade de privilèges… autrement dit, un attaquant peut prendre le contrôle de votre téléphone. Et ces deux vulnérabilités touchent le Framework Android, c’est à dire le cœur du système et elles affectent les versions 13, 14, 15 et 16. Donc en gros, à peu près tout le monde.
Le CISA américain (l’agence de cybersécurité) a ajouté ces deux CVE à son catalogue des vulnérabilités activement exploitées. Et quand le CISA bouge son popotin, c’est que c’est du sérieux. Google parle d’exploitation “limitée et ciblée”, ce qui signifie probablement des attaques de type spyware contre des cibles spécifiques… journalistes, activistes, ce genre de profils, mais rien n’empêche ces failles de se démocratiser maintenant qu’elles sont publiques.
À côté de ces deux 0-day, le bulletin corrige aussi une faille critique (CVE-2025-48631) qui permet un déni de service à distance sans avoir besoin de privilèges particuliers. En clair, quelqu’un peut faire planter votre téléphone à distance. C’est toujours sympa à faire ^^.
Ensuite, le reste du bulletin, c’est 34 failles dans le Framework, 13 dans le composant System, plus une cinquantaine de vulnérabilités réparties entre le kernel, les GPU Arm Mali, et les composants MediaTek, Qualcomm et Unisoc. Quatre failles kernel critiques permettent une élévation de privilèges via pKVM et IOMMU… bref, c’est le festival !
Pour vérifier si vous avez le patch, allez dans Paramètres > À propos du téléphone > Version Android (ou Informations sur le logiciel selon les marques). Vous devez avoir au minimum le niveau de correctif du 1er décembre 2025. Si vous êtes en dessous, forcez la vérification des mises à jour ou attendez que votre constructeur daigne pousser le patch… ce qui peut prendre quelques jours à quelques semaines selon la marque.
Les Pixel ont déjà reçu la mise à jour et pour Samsung, OnePlus et les autres, ça dépend du modèle et de la région. Et les téléphones qui ne reçoivent plus de mises à jour de sécurité sont évidemment exposés indéfiniment à ces failles, sauf si vous les rootez pour y mettre un Android custom du genre LineageOS ou GrapheneOS (Il est à la mode celui là en ce moment.. ahahaha).
J’ai découvert un truc qui m’a laissé sur le cul (c’est le cas de le dire). Kohler, le fabricant de sanitaires américain, vient de lancer Dekoda . Il s’agit d’une caméra à 599 dollars que vous collez sur le rebord de vos toilettes pour photographier vos beaux étrons. Je vous jure que je n’invente rien, allez voir le site !
Voici grosso merdo (oui, ça va être la thématique de cet article ^^) le pitch commercial : Analyser vos déjections avec de l’IA pour suivre votre santé intestinale. Tout un programme !
La caméra capture des images de vos joyeuses productions fécales après chaque passage, les envoie à une app iPhone (Android arrivera plus tard parce que bon, les utilisateurs Android peuvent bien attendre pour faire analyser leur merde), et l’intelligence artificielle vous dit si tout va bien au sein de vos entrailles. Le système se base sur l’échelle de Bristol, qui est une classification médicale qui note vos selles de 1 (crottes de bique) à 7 (diarrhée de compétition).
Et bon appétit !
Côté fonctionnalités, Dekoda peut détecter la présence de sang dans les urines ou les selles… ce qui effectivement peut indiquer des problèmes allant de l’infection au cancer. L’app suit également vos tendances sur la durée et vous alerte si quelque chose cloche. Le truc peut même analyser votre niveau d’hydratation en scrutant votre pipi.
Mais attention, le vrai problème n’est pas que cette caméra existe. Le problème c’est la sécurité de vos données intimes car Kohler affirme que tout est protégé par un “chiffrement de bout en bout” (E2E), sauf que quand on creuse un peu, c’est du pipeau. Un chercheur en sécurité a mis en évidence que ce fameux E2E… c’est juste du HTTPS classique. La “deuxième extrémité” du chiffrement, c’est Kohler lui-même qui peut déchiffrer vos photos de toilettes comme bon lui semble. Donc, l’argument commercial de chiffrement E2E est un mensonge.
Et ça va encore plus loin puisque dans les conditions d’utilisation, vous acceptez que vos données “dé-identifiées” servent à entraîner leurs algorithmes d’IA et soient potentiellement partagées avec des tiers pour “améliorer les produits et services”. En gros, quelque part dans un datacenter, vos cacas anonymisés servent à éduquer des modèles de machine learning gratuitement. Comme c’est romantique.
Et si un jour, il y a fist de données, euh pardon, fuite de données, le monde entier pourra associer ces jolies photos à votre nom, et en extraire de l’info médicale sensible qui pourrait intéresser votre assureur ou votre employeur.
Le dispositif se fixe sur la plupart des cuvettes sans outil, par contre si vous avez des toilettes noires ou foncées, ça risque de ne pas fonctionner car les capteurs ont besoin de réflexion lumineuse pour fonctionner.
Côté tarifs, en plus des 599 dollars pour l’appareil, il faut également prendre un abonnement entre 70 et 156 dollars par an pour l’analyse IA de votre caca.
Alors certes, surveiller sa santé intestinale c’est important et les changements dans les selles peuvent effectivement être des indicateurs précoces de problèmes de santé mais entre ça et installer une caméra connectée dans vos toilettes et que toute parte sur les serveurs d’une entreprise américaine avec un “chiffrement” bidon… y’a peut-être un juste milieu.
Genre, regarder vous-même comment ça se passe de temps en temps ?
Linux Mint 22.3 will be called Zena. The first beta release of the update will be released soon.
Clement Lefebvre, of the Linux Mint developer team, wrote that Mint 22.3 will come with more improvements such as pausing file operations (e.g. copy, move) in the distro's default file manager, Nemo. Snapshots in the Timeshift app will also be pausable. The Warpinator app, which is used for sending and receiving files, will gain an option for text messages. Night Light, which is used to manage the color temperature of the screen, will get an always-on toggle. The update will also add template management, and offer notification indicators on a per-app panel basis.
In my previous coverage, I reported about the refreshed Cinnamon menu (refer to the screenshot below) with symbolic category icons, based on XApp Symbolic Icons. Mint 22.3 will also ship with a System information tool, rebadged from System Reports. And it will add a System admin tool with some advanced options.
(Image courtesy: Linux Mint Blog)
Mint 22.3 will also improve the on-screen keyboard experience, along with a Wayland-compatible keyboard/IM handling. That said, don't expect any major upgrades to the Wayland session just yet. Mint 23 which could be released next year may bring further improvements to Wayland, but in an experimental form. Nothing is set in stone, so things could change. In case you missed it, KDE has announced its plans to go Wayland-only in the future. Fedora 43 has already done that.
The current version of Mint is 22.2 Zara. Linux Mint Debian Edition 7, aka LMDE 7 was released last month. Check out my article about WinBoat, if you want to run Windows apps on Linux.
The beta version of Linux Mint 22.3 will be released in the first half of this month. It is unclear whether the stable version of the update will be released before the end of the month, as was originally planned.
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Vous voulez savoir si votre SSD est sur le point de rendre l’âme mais vous avez la flemme d’installer un énième logiciel ? SMART Report Viewer règle le problème puisqu’il permet d’analyser vos rapports SMART directement dans votre navigateur.
En gros, vous exportez les données SMART de votre disque avec un outil comme smartctl ou CrystalDiskInfo, vous glissez le fichier dans l’interface web, et hop… l’analyse se fait entièrement côté client.
Pour rappel, les données SMART (Self-Monitoring, Analysis and Reporting Technology), c’est ce que votre disque collecte sur lui-même en permanence : Nombre de secteurs réalloués, heures de fonctionnement, cycles d’allumage, erreurs de lecture… Tous ces indicateurs qui permettent de voir venir une panne avant de perdre vos photos de vacances ou votre collection de photos de… enfin bref.
SMART Report Viewer supporte les disques NVMe et SATA, ce qui couvre à peu près tout ce qu’on trouve dans nos machines aujourd’hui, donc que vous ayez un vieux HDD mécanique qui grince depuis 2015 ou un SSD NVMe tout neuf, ça devrait passer.
L’avantage d’un outil web par rapport aux logiciels classiques comme CrystalDiskInfo ou GSmartControl, c’est surtout sa portabilité puisque vous pouvez analyser un rapport depuis n’importe quel PC, y compris celui d’un pote qui vous demande de jeter un œil à son disque qui fait des trucs suspect.
Pour récupérer vos données SMART, le plus simple reste smartmontools. Sous Linux ou macOS, un petit sudo smartctl -a /dev/disk0 > rapport.txt et c’est réglé. Sous Windows, CrystalDiskInfo permet d’exporter les infos et ensuite vous balancez le fichier sur SMART Report Viewer et vous avez votre diagnostic.
Pas de repo GitHub visible donc difficile de savoir comment l’analyse est faite côté code mais vous pouvez vérifier que tout se passe dans le navigateur puisqu’en coupant votre connexion après avoir chargé la page, ça marche toujours.
Bref, encore un petit outil pratique qui ne fait qu’une chose et la fait bien !
Vous développez une app SwiftUI et Claude vous balance du NavigationView alors qu’Apple recommande NavigationStack depuis la sorite d’iOS 16 ? Ou encore il vous sort @ObservableObject et @Published alors qu’on est passé à @Observable ?
Bienvenue dans le club des devs qui passent plus de temps à corriger les hallucinations de leur IA qu’à coder…
Ce problème, Aleahim, un développeuse macOS, en a eu marre alors elle a créé Cupertino, un serveur MCP qui donne accès à Claude à plus de 22 000 pages de documentation Apple en local. Plus besoin d’aller sur le net, et surtout plus d’excuses pour mélanger du code iOS 12 avec du SwiftUI moderne.
Ainsi, au lieu de laisser Claude deviner les API (et se planter une fois sur deux), on lui file l’accès direct à la vraie doc. Les 261 frameworks Apple sont là, indexés dans une base SQLite locale, avec un moteur de recherche full-text qui répond en moins de 100ms. SwiftUI, UIKit, AppKit, Foundation, Core ML, ARKit… tout y est.
L’écosystème se découpe ensuite en plusieurs repos GitHub. D’abord le serveur MCP principal qui fait le boulot d’indexation, ensuite un repo avec la doc pré-crawlée (parce que se taper 20 heures de téléchargement, merci mais non merci), et une collection de 606 projets d’exemple Apple officiels pour la route.
De quoi transformer Claude en assistant qui connaît VRAIMENT la plateforme.
Si ça vous intéresse, sachez qu’avant de vous lancer, faut être sur macOS 15 minimum avec Xcode 16 et Swift 6.2+. Côté espace disque, prévoyez 2-3 GB. Et si vous avez déjà bidouillé dans le terminal, que vous connaissez Git et que vous avez Claude Code installé, vous êtes bons. Comptez environ une quinzaine de minutes pour tout mettre en place.
Et rassurez-vous, je ne vous laisse pas tomber, on va attaquer l’installation ensemble. D’abord, récupérez le projet et compilez-le :
git clone https://github.com/mihaelamj/cupertino.git cd cupertino make build sudo make installCette commande compile le projet Swift en mode release (ne faites pas attention aux warning éventuels) et copie le binaire dans /usr/local/bin/. Vous devriez ensuite voir un message du genre “Build complete” suivi des chemins où le binaire est déployé.
Maintenant passons sur la doc. Plutôt que de crawler vous-même les serveurs Apple pendant une journée entière, je vous recommande de récupérer la version pré-packagée. Ça prend 5 minutes au lieu de 20 heures, et franchement la vie est trop courte :
git clone https://github.com/mihaelamj/cupertino-docs.git ~/.cupertino-docsMais si vous tenez absolument à avoir la doc fraîche du jour (maniaque de la mise à jour, je vous vois), vous pouvez crawler ça vous-même :
# Swift Evolution, ~5 minutes cupertino fetch --type evolution # Doc complète, ~20-24h cupertino fetch --type docs # Sample code Apple, ~4 minutes cupertino fetch --type samples
Le crawler utilise un délai de 0,5 seconde entre chaque requête pour ne pas se faire blacklister par Apple. D’où les 20 heures…
Ensuite, il faut construire l’index à l’aide de la commande suivante :
cupertino save
Puis lancer le serveur MCP comme ceci :
cupertino serveMaintenant, passons à la connexion avec Claude Code. Alors pourquoi Claude Code, parce que c’est celui que j’utilise, c’est le meilleur, c’est mon préféré ❤️.
Et c’est là que tout se joue, une seule commande :
claude mcp add cupertino --scope user -- /usr/local/bin/cupertinoLe --scope user fait que le serveur sera dispo dans tous vos projets, pas juste celui où vous êtes. Vous devriez voir : “Added stdio MCP server cupertino with command: /usr/local/bin/cupertino to user config”.
Et maintenant pour vérifier que tout marche, lancez Claude Code avec claude puis tapez /mcp. Vous devriez voir cupertino dans la liste avec 3 outils : search_docs, list_frameworks et read_document. Vous pouvez aussi lancer cupertino doctor dans le terminal pour un diagnostic complet qui vérifie que le serveur MCP, le répertoire de doc et l’index de recherche sont bien en place.
Testez en demandant à Claude de chercher quelque chose dans la doc Apple. Genre “NavigationStack iOS 16”. Il devrait utiliser l’outil search_docs et vous retourner la vraie documentation avec les bons exemples de code… pas du deprecated.
Si vous avez l’erreur “command not found: cupertino”, le binaire n’est pas dans votre PATH. Vérifiez que /usr/local/bin y est bien ou relancez sudo make install. Si c’est “Database not found”, vous n’avez pas de doc indexée. Retournez chercher le repo cupertino-docs ou lancez le crawl. Et si le serveur ne se connecte pas à Claude Code, fermez Claude Code complètement et relancez-le car les serveurs MCP se chargent au démarrage.
Voilà… Pour les devs Apple qui en ont marre de corriger les suggestions de Claude, Cupertino la formation Apple qu’il manquait à votre assistant IA !
If you used Windows for years, you know that Microsoft started to introduce the Settings app in Windows as a replacement for the Control Panel. What started out as a seemingly simple job, move everything over and be done with it, has turned into a usability nightmare for administrators all over the world.
The migration is still ongoing, and while much has been moved to the Settings app in Windows 11 by now, the Control Panel is still the place for certain options.
Microsoft released a new build for Windows 11 yesterday and with it come new features. As is the case with these, most are rolling out over time to testers. Why? No one really knows why Microsoft is not unlocking them all for testers, as one of the main purposes for installing test software is, testing.
Anyway, KB5070311 is out for Windows 11, versions 24H2 and 25H2, and you can check out the entire release notes here, in case you are interested.
Migration of Control Panel to Settings continuesWhen you scroll down on the page to the Settings section, you will notice that Microsoft introduces several changes with this update. One of them moves some options from the Control Panel to the Settings app.
In particular, the preferences for "character repeat delay rate" and "cursor blink rate" are being moved to Settings. Both land in different pages of the Settings app though.
So, if you want to access those, you need to open the Settings app and navigate to the options, provided that the change has been rolled out to your device already. You could also use the built-in search, which may speed up things.
As far as the other changes, Microsoft says that the about page in Settings has a new layout now that "organizes device details and related options in one place".
Other than that, Microsoft lists two fixes as well. One addresses a hang when opening the Network & Internet section, another that the title bar and the minimize and maximize buttons overlapped in some scenarios.
Some of these features may land in the last Windows 11 update for 2025 on December 9, 2025.
Now You: do you run test builds of Windows 11 or prefer to run stable versions of the operating system only? Feel free to leave a comment down below.
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J’ai dû abandonner mon iPhone habituel pour une quinzaine de jours, le temps de prendre en main et de tester en profondeur le tout nouveau smartphone Realme GT8 Pro pour Mac4Ever . Si la transition vers Android s’est faite sans heurts sur mes usages quotidiens, un manque s’est rapidement fait sentir : la localisation de mes affaires.
Mes AirTags étant devenus inopérants dès lors que j’ai changé de carte SIM, il me fallait une solution équivalente et fiable compatible avec l’OS de Google. C’est dans ce contexte que j’ai mis la main sur le pack de quatre traceurs UGREEN FineTrack G , une solution qui promet de combler ce vide avec quelques arguments techniques intéressants.
Au premier contact, le produit ne dépayse pas. On retrouve un petit galet en plastique gris, discret et léger, conçu pour se glisser dans un portefeuille, une valise ou s’accrocher à un trousseau de clés via son encoche intégrée. Cependant, une différence majeure saute aux yeux dès l’inspection du boîtier : la présence d’un port USB-C sur la tranche !
Contrairement à la quasi-totalité de ses concurrents, y compris chez Apple, UGREEN a fait le choix audacieux d’intégrer une batterie lithium-polymère rechargeable plutôt que de nous obliger à utiliser des piles boutons CR2032 jetables. Le constructeur annonce une autonomie d’environ un an par charge, un point que je n’ai évidemment pas pu vérifier sur deux semaines, mais la simple possibilité de recharger le traceur avec le même câble que mon téléphone est un confort indéniable qui évite la gestion des piles de rechange.
L’installation et la configuration passent par l’application Google de localisation, qui sert de passerelle pour l’enregistrement du produit. La procédure est élémentaire : un appui sur le bouton central du traceur suffit à l’activer, et le téléphone le détecte presque instantanément via Bluetooth. Une fois appairé, le dispositif rejoint le réseau “Localiser mon appareil” de Google.
C’est ici que réside tout l’intérêt du produit face aux anciens traceurs Bluetooth classiques. Le FineTrack G ne se contente pas de votre propre connexion ; il s’appuie sur le maillage gigantesque des centaines de millions d’appareils Android en circulation pour relayer la position de votre objet de manière sécurisée et anonyme. Durant mon test, la localisation s’est avérée précise et la mise à jour de la position sur la carte a été réactive, même lorsque le traceur était hors de portée de mon propre Realme GT8 Pro.
En matière de recherche de proximité, le dispositif est très efficace pour retrouver des clés égarées dans un appartement. L’application permet de déclencher une sonnerie via le haut-parleur intégré au traceur. Avec une puissance annoncée de 80 dB, le son produit est suffisamment fort pour être entendu distinctement même si l’objet est enfoui au fond d’un sac ou coincé entre les coussins d’un canapé.
L’application propose également une interface visuelle pour vous guider lorsque vous êtes à portée Bluetooth, même si on ne retrouve pas la précision millimétrique de la technologie Ultra-Wideband présente sur les AirTags. Mais bon, pour un usage courant, le système de bip sonore couplé à l’indication de proximité remplit parfaitement son rôle.
Au final, après ces deux semaines de test en compagnie de mon nouveau Realme GT8 Pro, le bilan de ces UGREEN FineTrack G est franchement positif. Vendus en lot de quatre à un tarif très correct, ils offrent un rapport qualité-prix difficile à battre sur le marché actuel. L’intégration au réseau Google est fluide, la fabrication est sérieuse, et le choix de la batterie rechargeable via USB-C est un gros plus. Pour tout utilisateur Android cherchant une solution fiable pour surveiller ses affaires sans se ruiner en piles, c’est une recommandation facile, et vous pouvez les trouver ici sur Amazon .
Et puisque vous savez lu jusque ici, pensez aussi à lire le test de cet Android Realme GT8 Pro que j’ai trouvé excellent !
Article invité publié par Vincent Lautier . Vous pouvez aussi faire un saut sur mon blog , ma page de recommandations Amazon , ou lire tous les tests que je publie dans la catégorie “Gadgets Tech” , comme cette liseuse Android de dingue ou ces AirTags pour Android !
Si vous aviez une Game Boy Advance en 2001, vous avez forcément joué à Mario Kart Super Circuit. C’était LE jeu pour les trajets en bus trop longs, les vacances à la mer chiantes avec les parents, les heures à tuer le weekend… Eh bien figurez-vous que pendant tout ce temps, on jouait à un jeu “cassé” sans même le savoir.
Le truc, c’est que Mario Kart Super Circuit affiche bien 60 fps… mais uniquement pour les personnages et les décors. Le circuit lui-même, qui tourne avec l’effet Mode 7 comme sur Super Nintendo, ne se rafraîchissait qu’à 30 fps. Et c’est un détail que personne n’a vraiment remarqué pendant presque un quart de siècle.
Et là, y’a un moddeur du nom d’Antimattur qui a décidé de fouiller dans le code et a découvert un truc assez dingue… Le jeu calculait déjà les paramètres du circuit à 60 fps en interne, mais quelqu’un chez Nintendo a décidé de ne les lire qu’à 30 fps. Alors pourquoi ? Hé bien mystère et boule de gomme… Les théories vont de l’économie de batterie (les piles AA du GBA original, c’était pas la fête) à une optimisation pour l’écran LCD qui bavait tellement que le 60 fps aurait peut-être été bizarre… On ne sait pas vraiment.
Ce nouveau patch fait seulement 15 octets et selon son créateur, un tiers de ces octets sont pour le mot “patch”. Un simple changement d’adresse et hop, le jeu fait enfin ce qu’il aurait dû faire depuis 2001.
La correction fonctionne sur toutes les versions du jeu (USA, Europe, Japon), et niveau performances, ça ne change strictement rien puisque le boulot était déjà fait en coulisses. Nintendo avait juste… oublié d’utiliser ses propres calculs.
Maintenant, la différence se voit surtout dans les virages serrés où le scrolling est parfaitement fluide. C’est subtil mais une fois qu’on l’a vu, difficile de revenir en arrière… Bref, si vous voulez ressortir votre GBA (ou votre émulateur, aucun jugement ^^) pour l’occaz, le patch traîne sur romhacking.net . Dégoupillez le fichier IPS qui correspond à votre région et c’est bon pour du Mario Kart qui tourne enfin comme prévu !
Je pense que comme moi, vous n’avez jamais vu un fauteuil roulant monter des escaliers ? Hé ça va changer en lisant cet article puisque Toyota vient de présenter un truc complètement dingue lors du Japan Mobility Show 2025. Il s’agit d’un fauteuil roulant autonome avec des pattes articulées qui lui permettent de se déplacer comme un crabe.
Le bestiau s’appelle “Walk Me” et c’est pas juste un concept de designer sous acide puisque ce machin dispose de quatre pattes repliables inspirées de la locomotion animale, notamment celle des chèvres, des crabes et des petits vieux chez Auchan le mardi matin à 8h30. Et quand je dis inspirées, c’est pas du bullshit marketing car les ingénieurs de Toyota ont vraiment étudié comment ces animaux se déplaçaient sur des terrains accidentés pour reproduire leurs mouvements.
Concrètement, quand le Walk Me grimpe un escalier, les papattes avant déterminent la hauteur de la marche et tirent la structure vers le haut, pendant que les papattes arrière maintiennent l’équilibre et poussent le corps. C’est fluide, c’est stable, et surtout, contrairement à vous qui ne pouvez rien faire sans votre femme, c’est autonome ! Donc pas besoin de quelqu’un derrière pour vous porter ou vous pousser.
Et pour éviter de se vautrer ou de percuter des obstacles, le Walk Me embarque des capteurs LiDAR et des caméras qui scannent en permanence l’environnement. Le système crée alors une représentation 3D en temps réel de ce qui l’entoure et s’adapte automatiquement comme ça, si un obstacle apparaît (genre un bébé ninja), il s’arrête tout seul !
Et le truc malin, c’est que quand vous n’avez pas besoin des pattes, elles se replient sous le siège, du coup le fauteuil devient suffisamment compact pour rentrer dans un coffre de voiture ou dans vos bagages. Le système peut même se déployer et se stabiliser tout seul sans intervention de l’utilisateur.
Bon, bien sûr, le Walk Me reste un prototype sans date de commercialisation annoncée mais sa présentation au Japan Mobility Show montre que Toyota prend au sérieux la mobilité inclusive. Y’a encore du boulot avant de voir ce genre d’engin dans les rues, mais ça donne quand même un bon aperçu d’un futur où les fauteuils roulants ne seront plus limités par les escaliers, les trottoirs défoncés ou les terrains un peu roots qu’on ne connait que trop bien en France…
L’accessibilité web c’est comme le tri sélectif… tout le monde dit que c’est génial mais azy, j’ai pas le temps. Et pourtant, c’est super important car près de 80% des pages web ont des problèmes de contraste de texte.
C’est le souci noumber ouane détecté sur le million de sites analysés chaque année par WebAIM . En gros, si vous avez un site, y’a de fortes chances que certains visiteurs galèrent à lire votre contenu, et je ne vous parle pas uniquement des personnes malvoyantes, hein… y’a aussi le daltonisme qui touche environ 8% des hommes et 0,5% des femmes. Rajoutez à ça les gens qui lisent leur téléphone en plein soleil, ceux qui ont une dalle de laptop toute pourrie, et vous comprendrez vite que le problème concerne pas mal de monde.
Alors est ce que vous connaissez les normes WCAG ?
Hé bien c’est le standard international pour l’accessibilité web. Ainsi pour être conforme au niveau AA (le minimum recommandé), votre texte doit avoir un ratio de contraste d’au moins 4,5:1 avec son arrière-plan. Pour le niveau AAA (l’idéal), c’est 7:1. Et là vous vous dites “super, je vais calculer ça à la main pour mes 47 couleurs de palette, mais va bien te faire cuire le cul, Korben”. (Oui, c’est comme ça que je vous imagine quand vous lisez mes articles).
Heureusement, y’a un outil qui vient de sortir et qui va vous changer la vie : CM-Colors . Vous lui donnez vos couleurs, et il les ajuste automatiquement pour qu’elles soient accessibles, le tout en modifiant les teintes le moins possible pour garder votre design intact.
L’installation est super fastoche…. C’est du Python donc un petit pip install cm-colors et hop c’est réglé. Ensuite, vous pouvez l’utiliser soit en ligne de commande directement sur vos fichiers CSS, soit via l’API dans votre code. Par exemple, vous avez un gris #5f7887 sur un fond #e6f0f5 qui passe pas les tests, hop, CM-Colors le transforme automatiquement en #5c6f7b et maintenant c’est conforme AA. Et la différence à l’œil nu est quasi invisible. Bref, c’est nickel pour l’accessibilité !
from cm_colors import ColorPair # Your colors pair = ColorPair("#999999", "#ffffff") # Fix them and preview in the terminal fixed_color, success = pair.make_readable(show=True) print(f"Use {fixed_color} instead of #999999") # Output: Use #8e8e8e instead of #999999Le truc vraiment cool, c’est que l’outil gère plusieurs niveaux de lisibilité. Y’a “Readable” qui correspond au AA, “Very Readable” pour le AAA, et même une option large_text=True pour les gros titres qui ont des exigences moins strictes. Vous pouvez donc adapter selon vos besoins et pour les devs qui bossent sur de gros projets, y’a aussi une fonction make_readable_bulk qui permet de corriger plusieurs paires de couleurs d’un coup.
from cm_colors import make_readable_bulk my_colors = [ ("#777", "#fff"), ("#888", "#000"), ] results = make_readable_bulk(my_colors) for color, status in results: print(f"{color} is {status}")Vous lui balancez une liste de tuples (texte, fond) et il vous retourne tout ça au propre. Et si vous voulez traiter directement vos fichiers CSS, la commande cm-colors styles.css génère un nouveau fichier styles_cm.css avec toutes les couleurs corrigées. L’outil peut même générer des rapports HTML pour visualiser les changements avant/après.
Alors oui, je sais, se taper de l’accessibilité c’est un peu relou car on a toujours l’impression que c’est du temps perdu sur des détails. Mais dites vous que ça impacte vraiment l’expérience de millions d’utilisateurs, donc ça vaut le coup d’y passer 5 minutes, surtout avec un outil automatisé !
Bref, CM-Colors c’est gratuit, c’est open source sous licence GPL-3, et ça peut vous éviter pas mal de galères. Toute la documentation est ici et y’a même une démo interactive sur leur site si vous voulez tester avant d’installer.
Securus Technologies , le géant des télécoms pénitentiaires (il en faut…), vient de déployer un système d’intelligence artificielle destiné à analyser automatiquement les communications des détenus. Quand je dis communications, on parle des appels téléphoniques, des messages, des emails, voire des appels vidéo et le but c’est de repérer des conversations où des crimes pourraient être envisagés ou planifiés, puis signaler ces passages à des agents humains.
Le modèle a notamment été entraîné sur 7 années d’appels du système pénitentiaire du Texas et comme Securus est l’un des plus gros fournisseurs du pays, son IA s’appuie sur un volume colossal de données captées dans les prisons, et autres centres de détention ICE. Les détenus, qui n’ont généralement aucune alternative pour parler à leurs proches, sont bien sûr prévenus que leurs communications sont enregistrées… mais pas forcément que ces enregistrements servent aussi à entraîner des modèles d’IA…
Pour les associations de défense des droits, c’est donc un problème très grave puisque pour communiquer avec sa famille, il faut forcement passer par ces outils, qu’on le veuille ou non, et souvent en payant. L’ACLU rappelle d’ailleurs que Securus s’est déjà fait épingler par le passé pour avoir enregistré des milliers d’appels entre détenus et avocats alors qu’ils n’en ont pas du tout le droit.
Et Securus n’est pas seul puisque LEO Technologies pousse son propre système d’analyse, Verus , déjà déployé dans des dizaines d’établissements répartis sur une dizaine d’États. Leur argument marketing c’est de détecter plus vite les menaces ou les incidents. Et dans sa grande bonté, la Floride leur a même attribué un contrat de plusieurs millions de dollars, et l’État de New York est aussi client. Bref, c’est un marché bien juteux !
Et du côté de la régulation, il y a une réforme de la FCC sortie en 2024 qui normalement, devait empêcher les entreprises de répercuter les coûts de surveillance sur les détenus et leurs familles. Mais sous la direction de Brendan Carr, nommé à la FCC sous Trump, ces protections ont été suspendues, puis partiellement annulées à la fin de cette année… Du coup, les entreprises peuvent de nouveau facturer aux détenus une partie des coûts liés à l’enregistrement, au stockage et même au développement de systèmes comme cette IA.
Ces décisions ont donc été critiquées par plusieurs organisations de défense des droits, qui estiment que la surveillance devient non seulement plus intrusive, mais aussi plus coûteuse pour des familles déjà fragilisées.
Bref, on se retrouve face à un cocktail bien connu avec d’un côté, une population captive sans alternative, des entreprises privées qui disposent de volumes gigantesques de données, et une surveillance algorithmique qui s’étend, et de l’autre, une régulation qui recule à fond la caisse.
Et tout ça se passe dans l’indifférence générale, parce que ce sont “juste” des prisonniers…
Linux is fine for gaming, Wine and Proton have come a long way. But what about Windows apps that don't play well with Wine?
That's kind of what WinBoat aims to fix. It's not merely an emulator, it's a virtual machine that uses a containerized approach in Docker or Podman.
These are WinBoat's system requirements
That's on par for a virtual machine. I guess it's kind of the opposite of the Windows Subsystem for Linux (WSL). So it's LSW?
Anyway, you can download the app from GitHub or from https://www.winboat.app/. It is free, and open source under the MIT license.
WinBoat is an Electron app. Yeah, yeah, I know! When you run the app, you'll see a prerequisites screen. This in my opinion could be a hurdle for many users.
The first thing you'll need to do is enable KVM from your BIOS/UEFI for virtualization. I already have QEMU/KVM/Virt Manager which I use sparingly for a Windows 11 VM. Next, you'll need to install Docker, and the Docker Compose v2. After that you have to add your user to the docker group, and also setup FreeRDP for Remote Desktop. That's a lot of stuff to set up, and some of these are complicated. I think these might scare users away from trying the app. Fortunately, you can just click on one of the "How" links, and it'll help you find instructions for everything. They are mostly help documentation hosted on Docker's portal. WinBoat does not support Docker Desktop.
Since I'm using Linux Mint, I followed the instructions to set up Docker on Ubuntu. It takes a bit of time, but once you got it set up, it should look like this.
Proceed with the installation of the VM in WinBoat. You'll be asked to select the version of Windows that you want to use, and optionally select a custom ISO.
Set up a user account for Windows, customize the virtual hardware, allow home directory sharing (if required). Once you have finalized the options, WinBoat will start installing Windows in the container. You can check on the progress using your web browser too.
Note: The installation failed for me once, but worked when I retried it.
WinBoat will boot into Windows, except you won't see a visual representation of Windows. The Home tab is where you can pause the emulation, stop it (shut it down), and also check on the CPU, RAM and Disk usage. Nothing fancy here, let's move on to the Apps tab. This is where the interesting stuff is. Click on an app here to launch it, e.g. File Explorer, Task Manager, Notepad, etc. They open like a native app on Linux, because there is no Windows GUI. It's kind of cool. You can of course access the Windows Desktop too.
As for installing apps, just download a setup file (e.g. an EXE) for the program you want and install it as you would normally. You can install whatever you want. The program will appear in WinBoat's Apps tab and you can launch it.
I chose to test some free Windows-exclusive apps that I had used in the past, namely Notepad++, ShareX. But I've seen many users reporting that they were able to get Adobe Photoshop, Microsoft Office running on their Linux machines with WinBoat.
Switch to the configuration tab in WinBoat to customize the virtual hardware, or to manage the app's settings such as Display Scaling, App Scaling, Multi-Monitor Support, Smartcard Passthrough, RDP Monitoring, etc.
In terms of performance, WinBoat's Desktop experience was slower than my Virt Manager setup. But the apps worked. That's the important thing, it's a functional virtual machine. I don't think it is a good idea to leave the container running all the time, using up system resources. Turn it off when you don't need it.
Wine is far mature (pun intended), and has way better support. But it's nice to have an alternative, even if it is not particularly user-friendly to set up. WinBoat might be useful for Windows 10 users who are on the fence about jumping ship to Linux, but need to run some Windows apps for work or personal use.
Over a billion users are still using Windows 10, half of these PCs do not meet the requirements to upgrade to Windows 11.
Have you tried WinBoat?
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Scène du crime, mardi matin, vous demandez à Claude Code de vous générer un middleware Next.js qui vérifiera un JWT dans les cookies. Et l’IA vous pond sans sourciller 15 lignes de code bien propres, bien commentées… Elle est parfaitement confiante et vous ça vous rassure. Vous copiez son œuvre, vous collez. Et là, PAF, une erreur de compilation !!
Hé oui, la fonction qu’elle a utilisée n’existe plus depuis Next.js 14. En gros, Claude Code a halluciné tranquillement avec de la vieille doc pourrie de 2020.
Et dire qu’on a passé 20 ans à se foutre de la gueule des devs qui copient-collent du code depuis de vieux posts Stack Overflow alors qu’aujourd’hui, on copie colle sans réfléchir ce que nous donne une IA qui fait exactement pareil ! C’est ça le progrès les amis !
Hé bien Context7 vient régler exactement ce problème ! Il s’agit d’un serveur MCP (Model Context Protocol) développé par Upstash qui branche votre assistant de code sur la documentation officielle à jour, comme ça vous esquivez les fonctions dépréciées, les API fantômes, et les best practices d’il y a trois ans.
Context7 est donc compatible avec Cursor, Claude Code, Windsurf, VS Code, Zed, Gemini CLI, et tous les éditeurs qui supportent le protocole MCP (donc à peu près tout ce qui existe…) et une fois que c’est en place, y’a plus qu’à l’oublier. Si vous hésitez, y’a une démo ici pour tester .
Mais avant de commencer, sachez que vous aurez besoin de Node.js 18+ pour la méthode locale. Et pour la méthode serveur distant, juste un navigateur et votre éditeur de code.
La méthode serveur distant consiste à aller sur context7.com , à vous créer un compte gratuit, à récupérer une clé API, puis à ajouter cette config dans votre éditeur comme ceci :
{ "mcpServers": { "context7": { "url": "https://mcp.context7.com/mcp", "headers": { "CONTEXT7_API_KEY": "votre_cle_api_ici" } } } }Pour Cursor, ouvrez les settings (Cmd+,), cherchez “MCP Servers”, et collez ça dans la config JSON. Pour Claude Code, c’est dans .claude/settings.json à la racine de votre projet. Sauvegardez, redémarrez l’éditeur, et c’est bon.
Et deuxième méthode d’install, c’est en local via npx. Après c’est la même clé API mais la config est légèrement différente :
{ "mcpServers": { "context7": { "command": "npx", "args": ["-y", "@upstash/context7-mcp", "--api-key", "votre_cle_api_ici"] } } }Voilà, avec cette méthode, le serveur MCP tourne sur votre machine ce qui vous offre un peu plus de contrôle. Et une fois que c’est en place, vous utilisez Context7 en ajoutant simplement “use context7” dans vos prompts. Par exemple : “Créez un middleware Next.js qui vérifie un JWT valide dans les cookies et redirige les utilisateurs non authentifiés vers /login. Utilisez context7”.
L’IA va alors interroger le serveur MCP Context7, récupérer la doc officielle Next.js à jour, et générer du code qui marche vraiment. Et la liste des libs supportées grandit régulièrement : Next.js, React, Vue, Svelte, Tailwind, TypeScript, et des dizaines d’autres…
Voilà, ça prend 3 minutes à installer, ça sauve des heures de debug débile sur des APIs qui n’existent plus, et c’est gratuit pour un usage perso !
Et dans six mois vous aurez oublié que c’est installé et vous vous demanderez comment vous faisiez avant…
Merci à itchrisdeb pour l’info !
Vous savez ce qui est marrant avec reCAPTCHA ? C’est que pendant des années, on nous a fait déchiffrer des plaques d’immatriculation floues, cliquer sur des feux tricolores bizarres, et identifier des vélos volés dans des images pixelisées, tout ça pour prouver qu’on était pas un robot. Alors qu’en fait, on entrainait gratos les IA de Google à reconnaitre ce genre de choses… Du coup, faudrait savoir s’en passer maintenant.
Et ça tombe bien puisqu’il existe une alternative qui change le game : ALTCHA . C’est un système de protection anti-spam et anti-bot open source qui utilise le Proof-of-Work à la place des puzzles visuels. Comme ça, au lieu de faire bosser votre cerveau ramolli pour Google, c’est votre processeur qui fait le boulot, tout ça en local, depuis chez vous, sans envoyer le moindre octet de donnée à Mountain View.
En gros, quand vous validez un formulaire, votre navigateur résout un petit calcul cryptographique. Pour un humain avec un ordinateur normal, c’est transparent et instantané mais pour un bot qui essaie de spammer 1000 formulaires par seconde, ça devient très vite coûteux en ressources. Et le plus beau c’est qu’il n’y a pas besoin de serveurs externes, pas de tracking, pas de cookies, pas de fingerprinting puisque tout se passe en local.
En plus, ALTCHA pèse 30 KB une fois compressé alors que reCAPTCHA c’est 300 KB… Vous vous demandez pourquoi reCAPTCHA est si gros en vrai ? Hé bien c’est parce qu’il est composé d’un tas de scripts de tracking, de fingerprinting, d’analyse comportementale et j’en passe…
ALTCHA est sous licence MIT , donc vraiment libre et ça fonctionne avec tous les navigateurs modernes (Chrome 67+, Firefox 63+, Safari 11+), avec plus de 50 langues dispo et niveau conformité, c’est carré sa Cnil : GDPR, WCAG 2.2 AA, HIPAA, CCPA…etc.
ALTCHA détecte aussi les headless browsers (les navigateurs sans interface graphique utilisés pour automatiser), les scripts automatisés, et même les bots qui utilisent du machine learning. Le système analyse le contenu et le contexte utilisateur pour adapter le niveau de protection et vous pouvez le déployer partout sans problème : AWS, Azure, Kubernetes, Docker, ou juste sur votre serveur web classique. Il y a même un plugin WordPress si vous voulez pas vous embêter avec du code.
En plus, comme c’est à 100% auto-hébergé, vous ne dépendez d’aucun service externe. Alors que quand reCAPTCHA tombe en panne (spoiler : ça arrive régulièrement), votre site est pété.
Bref, si vous en avez marre de faire bosser les visiteurs de votre site gratos pour Google qui en profite pour les tracker, jetez un œil à ALTCHA . Pour une fois que l’Europe arrête de mendier ses outils de sécurité auprès des géants américains et qu’en plus c’est meilleur, ce serait dommage de s’en priver.
The Indian government has issued a directive to manufacturers to pre-install the Sanchar Saathi app on all mobile phones in the Country. Here's what you need to know about it.
What's the Sanchar Saathi app? The word Sanchar has several definitions in Hindi, one of which means Communication. Saathi means friend, or companion.
Sanchar Saathi isn't a new app, it was released for Android and iOS in January 2025 by the Department of Telecommunications (DoT). It was designed to curb the misuse of telecom resources for cyber frauds and help cybersecurity. It helps users report fraud communications, lost/ stolen mobile handsets, verify the authenticity of a mobile phone using the IMEI number, check the mobile connections that are in their name, view trusted contact details of banks/ financial institutions.
In a press note in September 2025, the DoT revealed that the app had been helpful in blocking over 37.28 lakh (3.728 million) stolen/lost mobile devices, and that it had been used to trace and recover over 22.76 lakh (2.276 million) devices from the Sanchar Saathi LIVE dashboard. It's basically India's version of Google's Find My Device, and Apple's Find My, these apps are pre-installed on Android mobile devices and iPhones respectively. I get frequent text messages from the Government about the app, and its uses. It's kind of annoying.
And now we come to what has happened. The DoT has issued directions to OEMs to pre-install the Sanchar Saathi app on all mobile phones sold in India, including those that are manufactured locally or imported to India. The app needs to be readily visible and accessible during the device's set up. Its functionalities cannot be disabled or restricted. OEMs will need to push the app through software updates for existing devices in India.
The press release says that these rules will help "safeguard the citizens from buying the non-genuine handsets, enabling easy reporting of suspected misuse of telecom resources". You can read the press release here.
Now, I'd like to see how this works. There are millions of phones that don't receive software updates, and stuck on older versions of Android.
Many news outlets that have reported that the app collects a lot of data, and it's a huge privacy risk. Could it be used for surveillance? I fully agree that having a Government app on your phone does raise questions about user's privacy.
Let's take a look at the app's listing on the iOS App Store and the Google Play Store, both of them say that no data is collected.
Here's the app's privacy policy.
The following permissions are used on Android devices
And here are the permissions used on iPhones.
The privacy policy also states that the app will not automatically capture any personal information from the user without notifying them. The data is also not shared with third-parties, except those that are required by law enforcement agencies. That's probably required to trace lost phones, which is likely why they don't want users to uninstall or remove or disable the app.
I think it's a mistake to have made the Sanchar Saathi app mandatory on all devices. If the app is useful, people should be given the choice whether to install it or not.
Is it surprising? Age verification has become mandatory in many Countries. European nations want to implement Chat Control, which is basically a backdoor that lets Governments access your messages, photos, etc. to combat CSAM. What next?
Thank you for being a Ghacks reader. The post India asks Apple, Google and Android OEMs to preload Sanchar Saathi app on all phones appeared first on gHacks Technology News.