La coopérative The Originals Hotels, premier groupe hôtelier coopératif en France et 4e marque hôtelière nationale, franchit un nouveau cap avec la création de The Originals Expert.
Cette nouvelle entité, exclusivement dédiée à ses hôteliers, marque une étape supplémentaire dans l'accompagnement proposé par la coopérative, qui va encore plus loin pour pérenniser, développer et transmettre les établissements de son réseau, tout en sécurisant leur avenir face aux évolutions rapides du marché hôtelier.
Une (...)
Monte-Carlo Société des Bains de Mer a tenu vendredi 19 septembre dernier son Assemblée Générale Ordinaire. Les actionnaires ont approuvé à cette occasion les comptes de l'exercice 2024-2025 et l'ensemble des résolutions, marquant ainsi leur confiance renouvelée dans la stratégie et les perspectives de développement du Groupe.
La performance opérationnelle au rendez-vous L'exercice 2024/2025 s'est achevé sur des résultats financiers records, confirmant la solidité du modèle SBM. Le chiffre d'affaires (...)
Google continues to push AI services into its core products. Just a few months ago, it started to roll out AI Overviews in earnest. Back in July, Google claimed that the feature reached over two billion monthly users already.
Now it is introducing the next step, AI Mode, in Google Search, and also turning its Chrome web browser into an AI-first browser.
Not every user likes the infusion of AI on Google Search. While AI can be useful, it can also get in the way or, worse, provide information that is not accurate. It happened in the past and it is happening regularly.
Hide Google Search AI contentBye Bye, Google AI is a browser extension that gives you control over the features. Google does not provide options to turn off AI content on Google Search, which this extension rectifies.
The extension displays the options right after installation in a compatible browser. It is available for Chromium-based, which covers most desktop browsers. Installation in Chrome worked flawlessly, but it should work in other browsers, including Brave, Edge, or Vivaldi as well.
AI Overviews is selected by default only. This displays information created by AI when you run certain searches on Google Search. You can hide other types of content on Google Search using the extension, namely:
Only AI Mode is AI related, while the remaining features are blocks of content that Google Search often displays. It is a good option to get rid of content blocks that you have no use for. If you never shop online, you could for instance remove the shopping blocks.
If you prefer only organic results, you could remove sponsored links and feature snippets.
Activate the save button to save your selection. The extension works automatically from that moment on. When you visit Google Search, it will hide the blocks, AI and all others selected, automatically.
Note that it uses CSS to hide them. It does not really toggle them off, as no option to do so is provided by Google at the time.
Extensions like Bye Bye, Google AI have a tendency to break regularly. When Google makes changes to its Search page, it may break the extension functionality as a consequence. This usually requires the developer to publish an update to address the changes.
Closing WordsIntegrating AI overviews and other AI content in search is controversial. Google says it improves searches for users and while that may be true to an extend, there is also a darker side to this.
The elephants in the room are false information and doing its best to keep users on Google Search and other Google properties while displaying information created by third-party publishers.
Now You: how do you handle AI information in search engines? Do you use them, like them even? Or do you prefer to ignore or hide them?
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Et si je vous disais qu’il existe un futur où vous allez pouvoir vous connecter en SSH à votre serveur de production avec votre compte Google et que celui-ci serait totalement invisible aux yeux du monde ?
Et bien ça arrive bientôt et ça s’appelle SSH3 !
Alors déjà, pas de panique, je vais pas vous sortir le speech classique du “Oh regardez, un nouveau protocole qui va révolutionner le monde”. Non non, l’histoire est beaucoup plus tordue que ça car SSH3, c’est un symptôme d’un phénomène beaucoup plus gros qui est en train de se passer sous notre nez et qui est la “webisation” d’Internet (oui, je viens d’inventer ce mot).
Car pendant que tout le monde s’excitait tous sur ChatGPT et les IA génératives, des chercheurs belges de l’UCLouvain étaient tranquillement en train de planifier la disparition des serveurs SSH de la surface d’Internet. Et je dis bien “disparaître” dans le sens où votre serveur devient invisible aux scans de ports , car votre serveur SSH peut maintenant se planquer derrière ce qui ressemble à un banal site web.
Pour réussir ce tour de magie, SSH3 utilise HTTP/3 et QUIC au lieu du bon vieux protocole SSH traditionnel. Et là vous me dites “Mais Korben, c’est quoi le rapport avec l’invisibilité ?” Bah c’est simple, comme SSH3 tourne sur les mêmes ports que n’importe quel site HTTPS, impossible de distinguer un serveur SSH3 d’un serveur web lambda. Vous pourriez même planquer votre serveur SSH derrière une URL secrète… Tentez ensuite un scan de ports, et vous ne verrez rien de plus qu’un stupide serveur web…
Ce que j’appelle “webisation”, c’est en fait l’absorption totale de l’infrastructure système par les technologies du web. Et même SSH, le protocole le plus fondamental de l’administration système présent depuis 1995, va devoir capituler face à HTTP/3.
C’est la victoire finale du navigateur sur le terminal, et personne n’en cause vraiment… Avec SSH3, vous allez donc pouvoir utiliser vos certificats Let’s Encrypt pour authentifier votre serveur et le GitHub du projet explique que c’est plus sécurisé que les clés d’hôtes SSH classiques car votre terminal vérifiera le certificat comme le fait votre navigateur.
Mais attendez, le délire va encore plus loin puisque OAuth 2.0 et OpenID Connect sont également supportés nativement. Vous allez donc pouvoir vous connecter à votre serveur de prod avec votre compte Google, Microsoft ou GitHub. Et si j’en crois le draft IETF , c’est parfaitement légitime et sécurisé grâce à l’authentification HTTP standard.
Alors évidemment, l’idée de se logger sur un serveur critique avec son compte Gmail, ça peut faire peur mais on fait déjà confiance à ces mêmes providers pour notre authentification partout ailleurs, donc un de plus ou un de moins… Puis j’imagine que vous pourrez aussi mettre en place votre propre provider, ce qui vous permettra d’éviter les GAFAM tout en ayant une gestion plus simple des accès à vos machines.
Au niveau perfs, SSH3 établit une connexion en seulement 3 round-trips contre 5 à 7 pour SSH classique. Sur une connexion avec 100ms de latence, ça fait une différence énorme. Et en bonus SSH3 supporte le port forwarding UDP en plus du TCP. Cela veut dire que vous pouvez enfin “tunneler” du QUIC, du DNS ou du RTP correctement… Ce projet a explosé en décembre 2023 quand François Michel et Olivier Bonaventure ont publié leur papier mais attention, c’est encore expérimental. Les développeurs le répètent partout : Ne mettez pas ça en prod tout de suite !
Alors est-ce qu’on doit s’inquiéter de cette uniformisation des protocoles ?
Peut-être car si tout le monde utilise les mêmes briques de base, une faille dans QUIC ou HTTP/3 pourrait affecter absolument TOUT. Mais d’un autre côté, concentrer les efforts de sécurité sur moins de protocoles, c’est aussi moins de surface d’attaque à surveiller.
Maintenant pour tester SSH3, c’est simple si vous avez Go installé :
go install github.com/francoismichel/ssh3/cmd/...@latestEnsuite côté serveur, générez votre certificat avec
`ssh3-server -generate-selfsigned-cert localhost`Et lancez le serveur. Ensuite, côté client, connectez-vous avec
`ssh3 user@server`SSH3 est aussi rétrocompatible avec pas mal de features OpenSSH… Par exemple le proxy jump fonctionne, les fichiers de config ~/.ssh/config sont parsés, les clés RSA et ed25519 sont supportées. Les dev ont vraiment pensé à faciliter la transition et ça c’est cool !
Après comme je sais que vous n’aimez pas le changement parce que ça réveille en vous de vieux traumatises d’enfance, rassurez-vous, SSH3 n’est pas encore prêt pour remplacer OpenSSH demain matin. Le code n’a pas été audité niveau sécu, les perfs en throughput TCP sont moins bonnes qu’OpenSSH, et il manque encore des fonctionnalités. Mais le concept est là, et il semble très solide !
Ce qui est sûr, c’est que SSH3 ouvre des perspectives assez folles comme cette possibilité d’avoir des serveurs complètement invisibles, accessibles uniquement via des URLs secrètes, avec de l’auth SSO d’entreprise et des certificats standards. C’est un sacré changement de paradigme dans la façon dont on accède à nos machines… Car oui, pourquoi continuer à maintenir des protocoles séparés quand on peut réutiliser les briques modernes du web ? QUIC apporte la fiabilité, TLS 1.3 la sécurité, HTTP/3 la flexibilité.
Alors pourquoi réinventer ou maintenir une vieille roue ?
Bref, c’est un projet à suivre. Tout se passe sur le GitHub de François Michel et les contributions sont les bienvenues, surtout si vous avez des compétences en crypto ou en sécurité réseau.
Alors que Zuckerberg claque 15 milliards par an pour nous convaincre de porter des casques VR à 2000 balles, un petit studio vient de créer le metaverse le plus cool de 2025. En plus c’est gratuit et ça fonctionne dans notre navigateur !
Messenger d’Abeto , c’est un jeu où vous livrez du courrier sur une planète tellement minuscule que vous en faites le tour complet en 30 secondes en courant. L’effet de courbure est permanent, et on est un peu comme ce simp intergalactique, qu’est le Petit Prince sur son astéroïde, sauf qu’on est facteur !
Le studio Abeto, spécialisé dans les expériences web interactives, a construit ça avec WebGL et Three.js et ça marche parfaitement sur mobile. Pas besoin de télécharger 3GB de data, pas d’installation, pas de compte Steam. On ouvre le navigateur, on va sur https://messenger.abeto.co/ et nous voilà dans un univers coloré avec une musique chill, en train de nous balader…
C’est un jeu assez relaxant je trouve… Ça va vous changer de Call of Duty et vous pouvez même personnaliser votre personnage, changer vos fringues, et bien sûr faire vos quêtes de super facteur…
Et vous voyez les autres personnages qui courent sur la planète en même temps que vous ? Hé bien ce sont les autres joueurs ! Si vous voulez échanger avec eux c’est possible, mais uniquement via des emotes…
Après c’est vrai qu’habituellement, plus c’est grand, mieux c’est… Skyrim, GTA, Zelda… on mesure la qualité en kilomètres carrés, mais avec Messenger il suffit d’une planète de 50 mètres de diamètre et on s’amuse déjà bien avec.
Rien à payer, pas de pub, pas de pass de combat ou ce genre de conneries… C’est juste un petit monde où on peut se poser 10 minutes pour faire une petite pause dans sa journée, croiser d’autres facteurs et se dire bonjour avec des petits émojis…
Apple vient de sortir un truc énorme et je pense que personne n’a encore capté cette folie. Leur équipe de recherche en machine learning a publié SimpleFold , un modèle d’IA pour prédire la structure des protéines. Jusque-là, rien de révolutionnaire me direz-vous car AlphaFold de Google fait déjà ça très bien, sauf que… SimpleFold, lui, tourne sur votre MacBook Pro !
Maintenant, je vais vous expliquer pourquoi c’est complètement dingue. D’après l’article de recherche d’Apple , SimpleFold atteint 95% des performances d’AlphaFold2 tout en étant infiniment plus léger. En effet, AlphaFold nécessite des supercalculateurs avec des GPU à 20 000 balles pièce alors SimpleFold, lui tourne tranquille sur un MacBook Pro M2 avec 64GB de RAM.
Pour réaliser cet exploit, au lieu d’utiliser les modules super complexes d’AlphaFold comme la méthode du triangle attention ou les MSA ( Multiple Sequence Alignments ), SimpleFold utilise une technique appelée “flow-matching” avec des transformers basiques. Pour rappel, flow matching ça permet de générer des données (souvent des images ou du texte), à partir de bruit aléatoire…
Ils ont donc échangé le moteur de Formule 1 utilisé par des outil comme Alphafold par un moteur de Twingo bien générique et arrivent à atteindre la même vitesse.
Les chercheurs d’Apple ont pour cela entraîné 6 versions différentes de SimpleFold, de 100 millions à 3 milliards de paramètres. Et même la plus petite version (100M) atteint 90% des performances d’ ESMFold sur les benchmarks CAMEO22.
Et c’est super cool parce que prédire la structure d’une protéine, c’est pas juste un truc de geek pour s’amuser. C’est LA base pour créer de nouveaux médicaments, comprendre des maladies, développer des vaccins… Jusqu’à présent, seuls les gros labos avec des budgets de malade pouvaient se permettre de faire ça, c’est pourquoi SimpleFold change complètement la donne en rendant cette technologie accessible à n’importe quel chercheur avec un MacBook.
Un chercheur indépendant peut maintenant découvrir de nouvelles molécules depuis son canapé… Chapeau Apple pour démocratiser cette partie de la recherche scientifique !
Le plus drôle dans tout ça, c’est qu’Apple a entraîné SimpleFold sur 8,6 millions de structures protéiques, ce qui en fait donc le plus gros modèle de folding jamais créé, avec 3 milliards de paramètres pour la version complète. Maintenant pour l’installer, c’est super simple. Le repo GitHub montre que vous aurez juste besoin de Python 3.10 et que ça supporte PyTorch ou MLX (le framework d’Apple pour les puces Silicon).
Et voilà, en 5 minutes, vous avez un labo de biologie moléculaire totalement open source sur votre machine !
Yuyang Wang et son équipe ont donc prouvé que pour prédire les structures protéiques, pas besoin de réinventer la roue. Des transformers classiques avec du flow-matching, et ça marche ! Imaginez des lycéens qui découvrent de nouvelles molécules pour leur TPE, des startups biotech qui se lancent depuis un garage (littéralement), des pays en développement qui peuvent enfin faire de la recherche de pointe sans investir des millions dans l’infra…
Apple vient de casser un petit peu le monopole de la big pharma sur la recherche moléculaire.
C’est top non ?
Encore une histoire complétement dingue qui va faire zizir aux fans de LEGO !
En 2020, un Suédois de 21 ans a balancé à la télé qu’il allait construire une vraie voiture en LEGO s’il gagnait l’émission. Et 3 ans plus tard, David Gustafsson a tenu sa promesse et il roule maintenant dans une Volvo V70 entièrement faite de briques.
Le mec a utilisé 400 000 pièces LEGO pour construire une réplique grandeur nature de sa propre V70 ce qui représente 1,2 tonnes de plastique assemblées brique par brique. Et ce qui est fou c’est que c’est une voiture qui roule vraiment, avec portes qui s’ouvrent, des rétroviseurs électriques et même des phares qui suivent le mouvement du volant.
Comme je vous le disais en intro, David participait à LEGO Masters Suède avec son pote Rickard. Et pendant l’épisode 7, l’animateur Mauri leur demande ce qu’ils feraient avec tous les LEGO s’ils gagnaient. David, pour rigoler, balance qu’il construirait sa voiture en taille réelle. Sauf que quand ils ont gagné, il s’est dit “bon bah, j’ai promis, je le fais”.
Surtout que le prix de LEGO Masters Suède, c’est pas du cash comme partout ailleurs. Non, c’est un super crédit pour commander des pièces directement chez LEGO à prix coûtant. David s’est donc retrouvé avec 400 000 pièces à disposition. Et en décembre 2020, il commence alors le boulot…
2400 heures de travail plus tard, début 2024, la bête est terminée.
Après je me suis demandais comment ça pouvait tenir ce truc, parce que des LEGO, c’est pas vraiment prévu pour supporter le poids d’un adulte qui roule à 20 km/h. Et bien apparemment, David a triché un peu (heureusement) en intégrant 3 éléments non-LEGO que sont les roues, le moteur électrique et un châssis métallique. Tout le reste, des sièges au tableau de bord en passant par le volant et le sélecteur de vitesse, c’est du LEGO pur !
Le plus impressionnant c’est qu’il a réussi à reproduire les courbes complexes d’une V70 de troisième génération (2008-2016) avec des briques rectangulaires. Vous avez déjà essayé de faire un truc rond avec des LEGO ? C’est l’enfer alors une voiture entière avec ses galbes et ses arrières-train arrondis…
Les boutons de la clim fonctionnent, le sélecteur de vitesse fait “clic” quand on change de position, et les rétroviseurs latéraux pivotent. Incroyable !
Faut dire aussi qu’il a un peu d’XP le David car il a créé sa boîte BrickScale après sa victoire à LEGO Masters et depuis la société fait des modèles sur commande et organise des events LEGO. Il a déjà construit des sculptures humaines grandeur nature des Beatles, des chevaux pour l’équipe olympique suédoise, et un robot industriel fonctionnel…etc. C’est devenu son métier.
La voiture a été exposée à l’Ecar Expo de Gothenburg début 2024 et avec l’aide de Volvo Cars (qui a bien kiffé le projet), la V70 LEGO fait maintenant le tour de la Suède.
C’est chouette non ?
Mandarin Oriental annonce une série de nominations à des postes de direction afin de renforcer ses domaines stratégiques pour accompagner son développement et ses ambitions de croissance. L'année 2025 marque un tournant pour le groupe Mandarin Oriental, résolument tournée vers la concrétisation de sa vision en résultats mesurables : expansion du portefeuille, amélioration de la performance opérationnelle et création de valeur durable pour ses clients, ses collaborateurs et ses partenaires (...)
- Communiqué de presse / Mandarin Oriental, nominationGoogle has appealed the U.S. Supreme Court to pause an injunction ordered by a lower court. It is related to the antitrust case against Epic Games.
The case has dragged on since 2020, when Apple and Google had removed Fortnite from their stores, because of third-party payment systems that were implemented in the game. In 2023, a jury said Google had built an illegal app store monopoly on Android. This was followed by an appeal, and a ruling in 2024 ordered Google to allow third-party payment options on the Play Store. It also said the Play Store would have to host third-party app marketplaces, for 3 years.
Last month, Google lost its appeal against this ruling, when the Ninth Circuit Court of Appeals refused to turn the lower court's decision. Now, Google has asked the highest court in the United States to intervene in the matter.
Bloomberg reports that Google said that if Play Store policy changes are not delayed, Android's ecosystem will suffer irreparable harm. Irreparable harm? What does that even mean? It looks like Google is using security once again as an excuse to get what it wants, just like Apple does. Its plan to kill sideloading on Android is also based on "security fears".
Epic Games' spokesperson, Natalie Munoz, told Bloomberg that Google continues to rely on flawed security claims which have already been rejected by a jury and the 9th Circuit Court of Appeals, in order to protect their control over Android devices. Munoz also said that users and developers will benefit from competition, choices and lower prices if the injunction goes into effect as ordered.
Apple wants the EU to repeal the Digital Markets Act because it stands in the way of innovation, causes features to be delayed for users in Europe, and that third-party app stores cause harm for users. It's unbelievable how companies resort to creating fake security excuses just to protect their business, instead of just following the law.
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Vous vous souvenez peut-être de mon article récent sur LockPass, le gestionnaire de mots de passe français certifié ANSSI ? Eh bien, à l’approche des Assises de la cybersécurité à Monaco, c’est l’occasion de vous en dire plus sur LockSelf et sa suite d’outils cyber pour la protection des mots de passe et fichiers. Ils seront présents du 8 au 11 octobre 2025 sur l’événement, stand B05.
Car les Assises c’est LE rendez-vous annuel de référence pour tous les professionnels de la cybersécurité. Échanges entre pairs, découverte de nouveaux outils et visibilité sur l’évolution des solutions. C’est donc le moment PARFAIT pour aller les voir. Cette année, avec le thème « FuturS : la cybersécurité au service des métiers et de la création de valeur » , on va enfin arrêter de voir la sécurité comme une contrainte mais plutôt comme un véritable atout business.
D’ailleurs, petite info sympa, qu’il est toujours bon de rappeler, LockSelf propose exceptionnellement un essai gratuit de 30 jours pour l’occasion. Donc vous pouvez vous inscrire ici si vous voulez tester avant de faire le déplacement.
Mais revenons à nos moutons. Pourquoi LockSelf mérite votre attention aux Assises ? Eh bien j’ai identifié trois bonnes raisons qui vont vous faire comprendre pourquoi cette suite française cartonne autant.
Pour commencer, parlons de quelque chose qui va vous faire gagner un temps précieux : la conformité réglementaire. Avec LockSelf, finies les prises de tête avec NIS2, DORA ou ISO 27001. Leur suite vous permet de gérer finement les droits d’accès aux données de votre entreprise, avec des règles granulaires pour chaque utilisateur ou groupe. Que ce soit pour les mots de passe, les fichiers ou les transferts sensibles, vous pouvez limiter, déléguer ou ajuster les permissions selon les rôles, les besoins métiers ou l’appartenance à un service.
Et surtout, leur Dashboard centralisé, c’est de l’or en barre pour les administrateurs. Il centralise en temps réel tous les indicateurs clés de vos modules LockSelf et vous offre une vue panoramique sur la santé et la sécurité de vos données. Plus d’une centaine de métriques à votre disposition, avec suivi des accès, analyse des comportements, traçabilité des actions et reporting. La section “logs” peut même s’exporter et vaut pour preuve en cas d’audit.
LockSelf propose aussi une interconnexion native avec la plateforme SOC Sekoia, et peut s’interfacer avec n’importe quel SIEM/SOC grâce à son API. Plutôt pratique pour centraliser vos informations de sécurité et automatiser la détection des menaces.
Autre point important côté conformité : la gestion des accès partenaires. LockSelf permet de créer des accès temporaires, de partager en mode aveugle et de révoquer ou ajuster les droits à tout moment. Parfait pour sécuriser les collaborations avec des tiers tout en respectant le principe du moindre privilège.
Et pour la continuité d’activité (PCA/PRA), LockFiles facilite les sauvegardes externalisées tandis que LockTransfer met à disposition une plateforme souveraine, déconnectée du SI, pour échanger en cas de crise, ce qui est un énorme avantage pour rester opérationnel même dans un contexte très tendu.
D’ailleurs, ils ont un super cas d’usage d’un de leurs clients sur l’utilisation de LockSelf dans le cadre d’une cyberattaque (résolue en moins de 24h !). Si vous voulez un retour d’expérience concret, c’est ici.
Deuxième point qui va vous parler : l’alternative française à WeTransfer. Vous vous rappelez du tollé de juillet** **2025 ? WeTransfer a modifié ses CGU pour s’autoriser à utiliser vos données pour entraîner leur IA avant de faire machine arrière face à la polémique, mais bon… les entreprises qui manipulent des données sensibles ont vite compris qu’il fallait chercher ailleurs.
C’est là que LockTransfer entre en scène. Cette solution souveraine et sécurisée vous garantit un chiffrement de bout en bout, avec des serveurs hébergés exclusivement en France chez des partenaires reconnus (Scaleway, Outscale) ou directement sur votre infrastructure en On-Premises. Car contrairement à WeTransfer, LockTransfer n’accède à aucun moment à vos données.
Dans le contexte géopolitique actuel, avoir une solution française qui élimine tout risque de fuite liée à des législations extraterritoriales, ce n’est pas du luxe, c’est de la nécessité pure. Et puis, entre nous, montrer pattes blanches sur sa cybersécurité, ça aide aussi à décrocher des contrats avec les grandes entreprises ou les secteurs stratégiques comme la défense ou le spatial.
Troisième atout, et pas des moindres : LockSelf transforme la cybersécurité en avantage business. Comme je vous le disais en intro, c’est pile poil le thème des Assises cette année. On va donc enfin arrêter de voir la cybersécurité comme un frein pour en faire un moteur de création de valeur et LockSelf a cette particularité de répondre aux besoins de la DSI tout en se calquant sur les usages réels des collaborateurs. Résultat, adoption garantie !
Concrètement, c’est du chiffrement des pièces jointes directement dans votre messagerie grâce au plugin Outlook/O365, de l’autocomplétion des champs sur navigateur pour les mots de passe… Bref, des fonctionnalités qui simplifient la vie de vos équipes au lieu de la compliquer.
LockSelf, c’est surtout un éditeur français de solutions de cybersécurité ** certifié CSPN par l’ANSSI**. Cette certification atteste de la robustesse de leurs mécanismes de chiffrement et de la fiabilité de la protection appliquée aux données sensibles. Leur force, c’est donc une solution complète et modulaire : LockPass pour la gestion centralisée des mots de passe, LockTransfer pour l’envoi sécurisé de fichiers, LockFiles pour le stockage chiffré des documents sensibles.
L’approche modulaire permet aux TPE/PME, ETI ou grands groupes de choisir les modules dont elles ont besoin et de renforcer progressivement leur niveau de protection. Et comme tout est développé en France avec un hébergement souverain, vous gardez la maîtrise totale de vos données.
La cybersécurité étant avant tout une fonction “support”, au service des métiers, elle ne doit pas être une barrière mais un levier qui simplifie la vie des collaborateurs, protège les actifs sensibles sans freiner la productivité et c’est pour ça que des outils comme LockSelf vous permettent d’intégrer la cybersécurité comme un atout quotidien pour la sécurité de votre entreprise et la productivité de vos équipes.
Voilà, donc si vous passez aux Assises de la cybersécurité du 8 au 11 octobre 2025, n’hésitez pas à faire un tour sur le stand B05, et à les saluer de ma part ! L’équipe LockSelf sera là pour échanger autour de vos enjeux en matière de gestion des mots de passe, de partage sécurisé de données et de stockage chiffré. Ils pourront également vous accompagner sur l’intégration de leurs solutions dans une stratégie de conformité aux exigences NIS2 et DORA.
En prime, les équipes LockSelf présenteront en avant-première de nouvelles fonctionnalités dédiées à la gestion des accès en entreprise, idéales pour les grands groupes, avant évidemment un déploiement plus large. De quoi avoir un aperçu de ce qui nous attend dans les mois à venir !
À découvrir ici !The Proton Mail app for Android and iOS has been updated. It has a new design, and adds support for offline mode.
Proton's announcement says that the encrypted mail client now shares its code base on iOS and Android, to deliver new features faster, simultaneously. So, I compared both the iOS and Android versions of the app side-by-side, they are identical.
Let's start with the compose button, it is no longer at the top of the screen. It is now located in the bottom right corner of the Inbox page, and dynamically sizes as you scroll. If you reach the top of your mailing list, it shows "Compose", and if you begin scrolling up it turns into a compact button. This is similar to how Gmail's compose button works. The unread counter has moved from the top right to the top left of the screen.
Offline mode in Proton Mail lets you read your mails when you are not connected to a Wi-Fi or mobile data network. When you send a mail when offline, it is automatically queued up for sending, and when you go online, it will be sent. The same applies to organizing your messages.
Android users can now snooze emails from the menu, and schedule messages to be sent later by tapping on the clock next to send. These features were already available on iOS.
Proton Mail's sidebar options have been slightly rearranged, but the options are the same.
The Settings page has been completely overhauled, you can now manage Security Keys for Proton Mail from the app. It also has a password management option for your account. The Settings page has several new options including Mailbox Preferences, Folders and Labels, Spam and Filters, Privacy and Security, and App Customizations.
Proton Mail's app is definitely faster than before, at least on iOS. My Android phone is very old, so I can't tell the difference, but many users seem to be happy with the performance of the new app.
That said, the Settings pages are slower to load, this was noticeable on both iOS and Android. It is because the is syncing with the web mail client. I say this, because you can't change most of the settings while in offline mode, except for app customizations.
Download Proton Mail from the iOS App Store or the Google Play Store. The latest update, version 7.0.10 is still rolling out to Android users, you can sideload the app from the GitHub releases. There aren't any AI features in the app.
Do you like the redesigned app?
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On est en septembre, c’est la rentrée, donc c’est l’occasion pour nous tous, de nous inscrire à ces clubs d’activités qui vous permettent de nous occuper afin de ne pas sombrer dans la dépression. Je pense aux clubs de dessin, de foot, de théâtre, et pour les plus fifous d’entre vous, le club de poterie !
Parce que oui, faire des petits boudins en terre pour les empiler afin d’en faire des vases moches, c’est super rigolo ! En plus si vous savez les émailler, vous pouvez même les vendre une couille dans votre petite boutique artisanale ouverte uniquement de 14h à 16h uniquement les jeudis entre mars et juillet.
Mais vous savez ce qui serait encore plus cool ? Ce serait d’utiliser tout cette argile et ce four incroyable pour réaliser des circuits imprimés capables de faire tourner un Arduino… Hé ouais !
Patrícia J. Reis et Stefanie Wuschitz , deux hackeuses du collectif féministe viennois Mz* Baltazar’s Lab, ont en effet développé une technique pour fabriquer des PCB avec de l’argile ramassée en forêt et de la poudre d’argent recyclée à partir de déchets de bijouterie, tout ça cuit à 700°C au feu de bois.
Je me dis que peut-être que nos ancêtres faisaient déjà du hardware sans le savoir… bah oui, leurs tablettes d’argile étaient quand même les premiers supports de stockage de données de l’humanité. Et aujourd’hui, on boucle la boucle en revenant à ces techniques ancestrales pour créer l’électronique du futur post-apocalyptique qui nous attend…
Leur projet est en réalité parti d’un constat assez brutal, car dans nos smartphones et nos ordinateurs, on trouve beaucoup de minerais issus de conflits. Je pense par exemple au tantale qui vient essentiellement de la République Démocratique du Congo et du Rwanda , où 40 000 enfants travaillent illégalement dans les mines. Je pense aussi aux populations de gorilles des plaines orientales qui ont été décimées à cause de l’exploitation du coltan dans le parc national Kahuzi-Biega… etc., etc.
Alors face à ce désastre, les deux hackeuses ont décidé de tester cette alternative radicale. D’abord, elles sortent se balader dans leur forêt autrichienne avec une bouteille d’eau. Elles ramassent de la terre, y versent un peu d’eau, et si ça devient malléable entre les doigts, bingo, c’est de l’argile.
Ensuite, elles nettoient la terre avec une passoire de cuisine pour enlever les cailloux et les insectes, ajoutent 100ml d’eau par kilo de terre, et pétrissent comme pour faire du pain. Ensuite, pour les pistes conductrices, elles utilisent un genre de tampon imprimé en 3D qu’elles appliquent sur la tuile pour dessiner le circuit, ainsi que de la poudre d’argent récupérée dans des ateliers de bijouterie.
Elles peignent alors à la main les circuits sur l’argile avec un pinceau ultra-fin, comme des enluminures électroniques. C’est un processus lent, méditatif, aux antipodes de la production industrielle frénétique.
Et la forme hexagonale qu’elles ont choisie pour leurs PCB n’est pas anodine puisque c’est la forme optimale dans la nature : les alvéoles des abeilles, les cristaux de basalte, et même la structure du graphène. Elles voulaient en effet pouvoir assembler plusieurs circuits comme des tuiles, afin de créer des réseaux modulaires. Une super idée, mais qu’elles ont du abandonner à cause de la difficulté d’obtenir des bords parfaitement droits avec l’argile naturelle.
Le tutoriel qu’elles ont publié est une mine d’or, car elles y détaillent comment créer un tampon 3D pour imprimer le circuit dans l’argile (1,2mm de profondeur, en tenant compte du rétrécissement de 5% à la cuisson), comment programmer une puce ATmega328 récupérée sur un Arduino défectueux, et même comment souder les composants avec de la pâte à souder sans plomb qui respecte les standards du commerce équitable. Toutes les sources sont même sur Github.
La cuisson au feu de bois est surtout le moment magique. Elles creusent un trou dans leur jardin, construisent un lit de branches sèches pour poser les circuits, ajoutent une deuxième couche de branches fines par-dessus, et laissent le feu faire son œuvre pendant 20 minutes. Les circuits deviennent alors incandescents, puis elles les plongent directement dans l’eau froide. Si l’argile n’a pas de bulles d’air et a bien séché, il résiste au choc thermique.
Ensuite y’a plus qu’à souder les composants et le circuit final peut alors contrôler des capteurs capacitifs, des LEDs, des moteurs, exactement comme un Arduino classique. Elles ont même développé un code open source disponible sur GitHub pour gérer les entrées/sorties.
Alors, faire ses propres PCB avec de l’argile et des matériaux de récup, c’est peut-être utopique, mais face aux 50 millions de tonnes de déchets électroniques produits chaque année et aux ravages des minerais issus de conflit, c’est une jolie forme d’hacktivisme.
Voilà, donc la prochainement que vous aurez envie de vous mettre à la poterie, dites-vous que c’est peut-être plus que ça… Peut-être que vous êtes déjà en train de vous former à une technologie à la fois ancestrale et de pointe qui sera le futur de l’électronique.
Car après tout, entre une tablette d’argile sumérienne et un PCB en terre cuite, il n’y a que 4000 ans et quelques lignes de code Arduino…
RevMate simplifie la gestion du revenue management multisite pour les hôtels, réduisant le stress et augmentant la performance. Plus de 190 hôtels l'utilisent, améliorant leur RevPAR de 30 % en moyenne.
Auteur : Gaëtan GIL, cofondateur de RevMate
Comment prendre enfin le contrôle de son revenue management sans sacrifier ses soirées (ou ses week-ends), sa santé mentale et ses équipes ? Si vous gérez plusieurs hôtels, vous savez que le pilotage des revenus devient souvent un vrai casse-tête avec des (...)
Nichée au cœur des montagnes de Courchevel, La Sivolière 5* s'est imposée depuis plus de 50 ans comme l'institution la plus discrète et exclusive de la station. Sous la direction attentive et chaleureuse de Florence Carcassonne, qui veille sur la maison depuis plus de 20 ans, La Sivolière continue de cultiver une hospitalité conviviale, à l'image d'un chalet familial.
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- Communiqué de presse / ibis, Chartres, rénovationMicrosoft and ASUS have opened pre-orders for the Xbox Ally consoles. But, you're not going to like the prices.
Both consoles have a 7-inch screen, the primary difference between the two are the chips. The ROG Xbox Ally X has an AMD Ryzen Z2 A Processor with 16GB of RAM, while the Xbox Ally X is powered by an AMD Ryzen AI Z2 Extreme Processor with 24GB of RAM. Reviewers praised the performance of the handhelds, particularly the Xbox full screen experience, that hides the desktop/Explorer to free up memory. You may want to read my previous coverage to learn more about the tech specs of the consoles.
A trailer for the console showed off the handheld's capabilities, it can play Forza Horizon 5, Assassin's Creed Shadows, Hogwarts Legacy, Indiana Jones and the Great Circle, and other graphics-heavy titles. It will likely be able to handle Forza Horizon 6 too.
According to The Verge, the ROG Xbox Ally prices start at $599.99 in the U.S., $799 CAD in Canada, €599 in Europe, £499 in the U.K., and $799 AUD in Australia. The ROG Xbox Ally X price starts at $999.99, $1299 CAD, €899, £799, and $1599 AUD.
The RoG Xbox Ally consoles are available for pre-order at the Microsoft Store, Best Buy, and ASUS eshop, it will start shipping from October 16th.
Microsoft says that players from the following Countries can pre-order the Xbox Ally today:
Australia, Belgium, Canada, Czech Republic, Denmark, Finland, France, Germany, Hong Kong, Ireland, Italy, Japan, Mexico, the Netherlands, New Zealand, Norway, Poland, Portugal, Republic of Korea, Romania, Saudi Arabia, Singapore, Spain, Sweden, Taiwan, Turkey, United Arab Emirates, United Kingdom, United States, and Vietnam.
The Xbox Ally will be available from October 16 in the following Countries: Egypt, Greece, Hungary, Indonesia, Slovenia, South Africa, Thailand, and Ukraine. Microsoft says it will bring the consoles to Brazil, China, India, Luxembourg, Malaysia, Philippines, and Switzerland in the future.
It's kinda wild that a handheld like the Xbox Ally X costs more than a traditional console. Even the Nintendo Switch 2 only costs $450, and people were upset about that. Come to think of it, here's something crazier. You may be aware the prices of the Xbox were hiked for a second time in the U.S. this year, but Microsoft had increased the prices of the Xbox Series S and X across the world a few months ago. Did you know that the Xbox Ally costs the same in Europe as the Xbox Series X? They both cost €599.99. Insane!
Tip: The Steam Deck LCD 256 GB version is on sale for 20% off until October 6th, it costs $320 / £280 / €335.
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Windows 10 has just a few more weeks to go officially before Microsoft ends support for the operating system officially. Customers who run Windows 10 devices may extend support by a year or three, depending on whether they are home or business customers.
But joining the Extended Security Updates program has a cost attached to it, even for consumers. The three options that Microsoft has created have you either pay with your money, with Microsoft Rewards points, or with your data.
This approach has been a major concern for consumer rights organizations. The Euroconsumers Group, for example, criticized Microsoft for "linking access to essential security updates to engagement with Microsoft's own services".
Today, Microsoft released a statement that improves access to Windows 10 Extended Security Updates for users in the European Economic Area (which includes all EU member states, Iceland, Liechtenstein, and Norway.
It unlocks access to Extended Security Updates for users from the EEA and removes the requirement to pay with money or points, or to sync data with the Microsoft cloud. In other words, they can be enabled for free, even when not meeting any of the requirements that Microsoft created.
Microsoft confirmed the statement to Ghacks Technology News: "In the European Economic Area, we’re making updates to the enrollment process to ensure it meets local expectations and delivers a secure, streamlined experience. Our goal is to support customers and provide them with options as they transition to Windows 11, with uninterrupted access to critical security updates."
However, there is still one hurdle left. as Bleeping Computer found out. While users may join the program without fulfilling one of the requirements, they are required to join using a Microsoft account.
Windows 10 users who sign in with local accounts are exempt apparently. While that needs testing to make sure that this is indeed the case, it would still link essential security updates to using a Microsoft service, in this case a Microsoft account.
Windows 10 users need to check the Windows Update page of the Settings to get started enrolling. There they should see an "enroll now" link to start the process. If it is not displayed, an upgrade may be required, so click on the check for updates button to make sure your PC runs the latest Windows 10 version that Microsoft released.
Windows 10 users have other options. There is an open source script that enables Extended Security Updates on Windows 10, even for users who do not use a Microsoft account. Bypass options to install ESU updates without joining are also reportedly working.
Closing WordsWindows 10 is still widely used on PCs worldwide, with usage share hovering over the 40 percent mark in recent polls. That is a major security concern, considering that these PCs won't receive updates anymore after Microsoft releases the October 2025 update for Windows 10.
The only option to extend support is by joining the Extended Security Updates programs, which is now improved for users from the EEA.
Now You: do you run Windows 10 on your devices? Have you joined the ESU program already or plan to do so? Feel free to leave a comment down below.
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Bon, on va pouvoir l’avouer maintenant, tous ceux qui se la racontent parce qu’ils peuvent prendre le contrôle à distance de leur joli Mac, ont la même galère depuis que FileVault existe… En effet, après une coupure de courant ou une mise à jour du système, votre super serveur Mac redevient une boite à chaussure jusqu’à ce que quelqu’un déplace son gros cul d’admin sys pour taper le mot de passe sur un clavier tout ça.
Et là, on a Jeff Geerling qui nous annonce l’air de rien qu’Apple vient enfin de “légaliser” la bidouille qu’on utilisait tous en douce à savoir déverrouiller FileVault à distance via SSH dans macOS Tahoe.
Ce qui était donc avant une astuce d’admin système un peu à la one again (script d’autologin / désactiver le chiffrement…etc) devient maintenant une fonctionnalité officielle. Sous macOS 26 Tahoe, si vous activez la “Session à distance” dans les réglages de partage, vous pouvez maintenant vous connecter en SSH avant même que l’utilisateur se soit authentifié. Un admin tape son mot de passe à distance et hop, le Mac démarre complètement. La documentation officielle explique même que le SSH se déconnecte brièvement pendant le montage du volume, puis revient. C’est la classe !
Par contre, petit détail qui tue, c’est censé fonctionner en WiFi mais Jeff Geerling qui a testé l’astuce n’a réussi à se connecter qu’en Ethernet. Il pense qu’en Wifi, ça ne passe pas parce que les clés réseau sont dans le Keychain, qui est lui-même chiffré sur le volume verrouillé. C’est le serpent qui se mord la queue (oui, vous le savez d’expérience, ça fait mal de se mordre la queue)… Du coup, tous ceux qui ont des Mac mini planqués derrière leur télé en mode serveur Plex, vont devoir tirer un petit câble RJ mais bon, vrai bonhomme fait vrai réseau en Ethernet, le Wifi c’est pour les faibles, ouga-ouga !
Cette nouvelle fonction arrive pile poil au moment où Apple change aussi la façon dont FileVault stocke les Recovery Keys. Selon TidBITS , fini le stockage basique dans iCloud, maintenant c’est dans l’iCloud Keychain avec chiffrement de bout en bout.
Quoiqu’il en soit, cette fonction très pratique pour les admins autorise quand même potentiellement de nouvelles attaques pre-auth sur les Mac, car avant, un Mac avec FileVault activé était une forteresse imprenable au démarrage. Mais maintenant, si vous avez activé le SSH distant, il y a une nouvelle surface d’attaque avec laquelle s’amuser. Alors oui, faut toujours le mot de passe admin mais bon, c’est moins sympa qu’une vraie sécurité physique…
En tout cas, tous les vieux de la vieille qui gèrent des fermes de Mac mini pour du CI/CD ou du rendu sont aux anges ! Plus besoin de supplier le stagiaire d’aller dans la salle serveur après chaque reboot, par contre, les puristes de la sécurité font un peu la grimace car cette connexion SSH, c’est du password-only pour l’instant. Apple a encore fait les choses à moitié, comme d’hab.
Microsoft has announced Forza Horizon 6. The game was unveiled during the Xbox Tokyo Game Show 2025 Broadcast, which makes sense, because FH 6 is set in Japan.
This isn't surprising, a Forza game set in Japan has been widely requested by the community for years. Microsoft's Instagram account jumped the gun yesterday, and posted some ads, but they were taken down quickly. The first game in the series was set in Colorado, U.S., the second in France and Italy, the 3rd in Australia, the 4th in the U.K., and Foza Horizon 5 was set in Mexico. That makes Forza Horizon 6 the first game in the franchise to be set in Asia.
FH 6 is being developed by Playground Games and Turn 10 Studios (Forza Motorsport devs). Fans will be able to race through the streets of Tokyo City in the game, while taking part in the Horizon Festival. The game will continue the tradition of changing seasons (spring, summer, autumn, and winter), like the past 2 iterations in the series. Microsoft says that the game will capture Japan's cultural essence. Unfortunately, that's where the details end. It was basically just a name and setting reveal, and rather disappointing.
Information about Forza Horizon 6 system requirements have not been announced yet. Here's the official teaser trailer for the game, and the announcement post.
Forza Horizon 6 will launch first on Xbox consoles and PC in 2026, the game has been listed on Steam and the Xbox store. It will be included with Game Pass Ultimate and PC Game Pass at launch. The game's Art Director, Don Arceta, says more details about FH 6 will be revealed in early 2026. That and the fact that there is no gameplay trailer seems to suggest the game may be released in the second half of the year, just like the previous games in the series were released between September to November.
Microsoft has confirmed that Playground Games and Turn 10 Studios are working on Forza Horizon 6 for PlayStation 5, which will be released later. The price of the game remains to be seen, but considering the recent Xbox price hike, and Microsoft's intention to price games at a premium, don't be surprised if it costs $80 or more.
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À l'occasion de l'édition 2025 du salon IFTM Top Résa, Kactus, la plateforme technologique de référence pour l'organisation d'événements BtoB, et l'IFTM dévoilent les résultats de leur Baromètre annuel Meetings & Events. Dans un environnement économique mouvant, marqué par une inflation persistante et des arbitrages budgétaires renforcés, les entreprises redoublent de prudence. Elles scrutent chaque ligne de dépense, optimisent, comparent et anticipent davantage. Pourtant, le MICE ne recule pas, bien au (...)
- Communiqué de presse / Kactus, baromètre, voyage d'affaires