LBO France, plateforme d'investissement multi-spécialiste, annonce l'acquisition juste avant l'été de l'hôtel Konti, un établissement 4 étoiles de 51 chambres situé dans le quartier du triangle d'or de Bordeaux, près de la Place des Grands Hommes. Cette opération s'inscrit pleinement dans la stratégie de LBO France visant à investir dans des actifs hôteliers de qualité, situés dans des localisations de premier ordre et présentant un fort potentiel de valorisation.
L'acquisition de l'hôtel Konti porte à 9 le (...)
Meta has announced that WhatsApp Messenger can now translate messages in chats. This is done on the device.
Translation works for personal chats, groups, and Channel updates. To use it on iOS, you will need to press and hold on a message, and tap on More > Translate. Select the language you want the message to be translated to or from. This will offer to download the select language. You can manage the installed languages from the Settings > Translate > Downloaded languages.
Android users will need to press and hold on a message, then tap on the three-dot menu at the top, and then choose to download the language. Tap on translate to view the translated version of the text. If you want to view the original text, tap on the three-dot menu and select remove translation. Android users can use the view translation option to automatically translate an entire chat, which will also translate future incoming messages in the thread.
Note: WhatsApp's message translate feature only works for chats, i.e. text messages. It cannot translate documents, stickers, GIFs, contacts, etc.
WhatsApp on Android can translate six languages: English, Spanish, Hindi, Portuguese, Russian, and Arabic. WhatsApp on iOS supports translation between 20 languages, including:
While that is impressive, WhatsApp's iOS app relies on Apple's system-wide language translation support on iOS. The announcement says that the message translations will be processed on-device, to protect the privacy of users. It downloads the language pack, uses traditional translation methods instead of AI, at least that's how it seems to me.
WhatsApp is gradually rolling out the message translation feature to users, so you may not have access to it immediately. It wasn't available on my iPhone, but a couple of friends of mine were able to test it.
This is a pretty good feature, it could come in handy if you've just moved to a new Country, or if your new friend doesn't speak your language.
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For many users, a key feature of web browsers is the ability to install add-ons. These extensions improve browsing in meaningful ways, from blocking unwanted content over making downloads more user-friendly, to modifying certain aspects of websites.
Sometimes, however, add-on updates may introduce problems of their own. Developers needed to release an update to address the issue in the past, which sometimes, was delayed because of Mozilla's review processes. Even the most popular developers, like Raymond Hill, who creates the uBlock Origin and uBlock Origin Lite extensions, have faced issues with that review process.
Soon, developers of Firefox extensions have another option to deal with issues in the most recent version of their add-ons.
Mozilla announced the ability for developers to roll back to a previous version of their extension. The main idea behind the feature is to speed up the troubleshooting and reduce issues that users of the extension may encounter.
Mozilla writes: "If developing a revised version and obtaining a review won't address the issue quickly enough, you can roll back to an earlier version of your extension.".
The process relies on Firefox's check for extension updates. When a developer enables a roll back, Firefox will download and install the previous version of the extension the next time it checks for extension updates.
Users who have disabled the check in their Firefox copy need to run a manual check for updates to initiate the rollback.
The only limitation of the feature is that at least two approved versions of an extension need to be available. On Mozilla's official add-ons store for Firefox, developers may only roll back to the version released before the one that requires the rollback.
Developers who self-host their extensions do not have such limitations. They may initiate rollbacks to any approved version. Mozilla did not mention why the difference exists.
Closing WordsGiving add-on developers another option to deal with issues that appeared after they release a new version of their extension is a good idea. Developers may react quickly by enabling rollbacks to previous versions, deal with the issue, and release an updated version when it is ready.
This simplifies and improves the process for users, who would otherwise run into issues, if they downloaded and installed the extension version that has issues.
Can this somehow be abused? In theory, it is possible to roll back to a very early approved version if the add-on is self-hosted. A hacker or disgruntled employee could do that, but if they have access to the account, they could very well delete the extensions outright or modify them.
Firefox users just need to be aware that the version of installed extensions may change now to an earlier version, if they have automatic extension updates enabled.
Now You: how do you handle updates for extensions? Do you let your browser do the updating, or prefer to update manually instead?
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Enfin !!
Oui, enfin, on a une IA médicale française, développée par Synapse Medicine une startup bordelaise, qui va pouvoir confirmer que votre petit mal de tête est bien un cancer du cerveau en phase terminale, exactement comme vous l’aviez lu sur Doctissimo à 3h ce matin après avoir cliqué sur 47 pages de forums où “MoiMêmeJeSais” raconte qu’elle a failli mourir avec les mêmes symptômes.
Cela s’appelle MedGPT et attention, avant que vous ne commenciez à lui demander si votre bubon de sorcière sur le nez est un mélanome, sachez que cet outil est réservé aux professionnels de santé. Médecins généralistes, spécialistes, pharmaciens, infirmiers, sages-femmes… Bref, tous ceux qui ont encore la chance d’avoir un boulot dans notre beau pays riche et développé où 87% du territoire est considéré comme un désert médical .
Hé oui les parisiens, il y a environ 6 millions de Français qui n’ont pas de médecin traitant et dans certaines régions, il faut attendre jusqu’à 1 an pour voir un spécialiste. Du coup, on en est réduit à faire du diagnostic sauvage sur internet ou à prendre un vol Ryanair pour se faire soigner en Belgique ou en Roumanie où ils ont encore des médecins disponibles. Mais bon, revenons à nos moutons numériques…
Selon les concepteurs de MedGPT , leur IA s’appuie sur plus de 50 sources officielles françaises : la Haute Autorité de Santé, l’ANSM, la base Thériaque… Contrairement à ChatGPT qui pourrait vous conseiller de prendre de l’hydroxychloroquine / Ivermectine / azithromycine pour soigner votre Covid parce qu’il est complétement con, MedGPT, lui, utilise uniquement des données médicales françaises validées par la science et les professionnels de santé.
Ils lui ont même fait passer l’ECN 2023 (le concours de médecine) et MedGPT a réussi à se classer dans le top 500 , alors que ChatGPT végète autour de la 2000ème place… Bon, ça reste moins bien qu’un vrai étudiant en médecine (quoique pour les internes aux urgences, j’suis moyen sûr), mais c’est déjà mieux que la moitié des candidats humains.
Et rassurez-vous, less données sont hébergées en France, respectent le RGPD et les normes HDS (Hébergement de Données de Santé). Quand on sait que 66% des médecins américains et 20% des britanniques utilisent déjà ChatGPT pour leur boulot , malgré les risques de fuites de données et de recommandations foireuses… J’suis content que les Français qui étaient coincés entre utiliser un truc pas adapté ou se passer de l’IA, ont maintenant leur solution souveraine.
Alors pour l’instant, MedGPT est en bêta gratuite et limitée à 5 questions par jour. Oui, 5 questions, c’est le nombre de symptômes différents que vous pouvez googler avant de vous convaincre que vous avez la peste bubonique mais bon, après avec un petit VPN, vous pouvez contourner la limite. Notez aussi que l’IA peut faire également des erreurs, donc fiez-vous toujours à votre jugement, à la science et à votre médecin.
C’est gratuit pour le moment, alors autant en profiter avant que ça devienne payant comme tout le reste et qui sait, peut-être qu’un jour on aura une IA capable de faire les ordonnances directement… Woohoo \o/.
Bon, je vous laisse, je vais aller vérifier sur Doctissimo si ma fatigue après avoir écrit cet article n’est pas un symptôme lié à une “dermatite irritative de la région périnéale” ^^.
Merci à Lorenper pour m’avoir fait découvrir cette pépite !
Alors si vous cherchez un truc pour procrastiner intelligemment ce soir ou demain, j’ai exactement ce qu’il vous faut. Play.ertdfgcvb.xyz , c’est un terrain de jeu ASCII interactif où vous pouvez coder des animations directement dans votre navigateur. Et c’est hyper hypnotisant, vous allez voir !
Derrière ce nom imprononçable “ertdfgcvb” se cache Andreas Gysin , un artiste suisse basé à Lugano qui fait du code et du design et son playground ASCII, c’est une interface épurée au maximum composée d’un éditeur de code à gauche, d’une fenêtre de prévisualisation à droite, et c’est tout. Pas de fioritures, pas de boutons partout, juste l’essentiel. Vous tapez Cmd+Enter (ou Ctrl+Enter sur PC) et votre code s’exécute en temps réel.
Le principe de son code en live est inspiré des fragment shaders GLSL , sauf qu’au lieu de pixels colorés, vous manipulez des caractères. Vous avez accès à des fonctions spécifiques telle que boot() qui s’exécute une fois au démarrage, pre() pour préparer vos données, main() qui est appelée pour chaque cellule de l’écran, et post() pour les modifications finales.
Voici un exemple simple en javascript pour comprendre le délire :
export function main(coord, context){ return String.fromCharCode((coord.y + coord.x) % 32 + 65) }
Ce bout de code génère un pattern de lettres qui change selon la position X et Y sur l’écran. C’est tout con mais c’est beau.
Le playground propose également des dizaines d’exemples triés par catégorie. Vous avez les basiques pour apprendre, des démos plus complexes comme “Doom Flame” qui recrée l’effet de flamme du jeu Doom en ASCII, ou encore “Donut” qui fait tourner un donut en 3D avec juste des caractères. Y’a même une section “camera” où vous pouvez manipuler votre webcam et la transformer en ASCII art en temps réel.
D’après le GitHub du projet , Andreas a créé ça comme un hommage à tous les artistes, poètes et designers qui utilisent le texte comme medium. C’est un projet minimaliste, avec presque pas d’interface, juste le code et le résultat. Même les marges et les numéros de ligne ont été virés.
Et tout ça tourne de manière fluide dans le navigateur et pour les dev qui veulent comprendre comment ça marche sous le capot, tout le code source est sur GitHub, et vous pouvez vraiment faire des trucs de ouf avec, par exemple des fractales, des simulations de fluides…etc. C’est complètement barré.
Mais pour commencer, le plus simple c’est d’explorer les exemples. Le classique “10 PRINT” recrée le fameux one-liner du Commodore 64 qui génère un labyrinthe infini. Les exemples SDF (Signed Distance Fields) montrent comment faire de la 3D avec des maths et des caractères. Et si vous êtes chaud, vous pouvez lui envoyer vos propres créations qui rejoindront la section “contributed”.
Andreas enseigne ces techniques dans ses cours, et apparemment les étudiants adorent. C’est vrai que c’est une approche super pédagogique du creative coding où on se prend pas la tête avec du WebGL ou des frameworks complexes… Non, faut juste pondre du code simple qui produit des résultats visuels immédiats.
Bref, play.ertdfgcvb.xyz c’est le genre de site qu’on bookmark et qu’on ressort quand on veut se vider la tête en codant des trucs rigolos. C’est gratuit, c’est open source, et c’est une belle démonstration que l’art et le code peuvent cohabiter sans avoir besoin de millions de polygones et de shaders complexes.
Un grand merci à Lorenper pour m’avoir fait découvrir cette pépite !
Apaleo devient la première plateforme de gestion hôtelière en Europe à lancer un serveur Model Context Protocol (MCP), une innovation majeure qui permet aux agents d'intelligence artificielle d'exécuter des opérations hôtelières complexes multi-systèmes sans nécessiter des semaines de développement personnalisé.
Cette avancée technologique supprime l'un des principaux obstacles à l'adoption de l'IA dans l'industrie hôtelière en créant une interface standardisée entre agents intelligents et l'écosystème (...)
FIN DE L'ETE ET RENTREE DE SEPTEMBRE Sur la fin du mois d'août, et au début du mois de septembre, l'évolution des nuitées par rapport à 2023 était plutôt positive. Sur cette période, le nombre de nuitées a progressé de +6,9% et le taux d'occupation hôtelier s'est porté à 77,1%. Le constat est le même sur la présence en journée dans le Grand Paris (intégrant donc les excursionnistes), avec une évolution de +4,7% vs. 2023.
La semaine du 10 septembre, qui a vu les mouvements de blocages en France, a enregistré une (...)
Attention, si vous laissez tourner WebGoat sur votre machine, elle sera “extrêmement vulnérable aux attaques”. C’est en tout cas ce qui est écrit en gros sur la page de ce projet OWASP , et c’est pas pour faire joli car WebGoat est une application web délibérément pourrie, truffée de failles de sécurité, créée exprès pour que cous appreniez à les exploiter.
Et c’est génial !!
Car on a enfin un truc qui nous permet d’apprendre vraiment comment les hackers s’infiltrent dans les sites web, sans risquer de finir au tribunal. Parce que bon, scanner le site de votre voisin pour “apprendre”, c’est direct trois ans de prison et 100 000 euros d’amende. Alors qu’avec WebGoat, vous pouvez tout péter tranquille depuis chez vous.
WebGoat , c’est donc un projet open source maintenu par l’OWASP depuis des années qui vous propose uune application web qui ressemble à n’importe quel site lambda, sauf qu’elle est bourrée de vulnérabilités volontaires telles que des injections SQL, XSS, CSRF, contrôle d’accès défaillant… bref, toutes les saloperies du Top 10 OWASP sont là, prêtes à être exploitées.
Et WebGoat fonctionne comme un cours interactif car pour chaque vulnérabilité, vous avez trois étapes : d’abord on vous explique comment ça marche, ensuite vous devez l’exploiter vous-même via des exercices pratiques, et enfin on vous montre comment corriger le problème. On apprend en faisant !
D’après la doc officielle , WebGoat couvre presque toutes les vulnérabilités du Top 10 OWASP. Pour ceux qui ne savent pas, le Top 10 OWASP c’est LA référence mondiale des failles de sécurité web.
Au sein de WebGoat se cache aussi WebWolf, une application séparée qui simule la machine de l’attaquant. Ça tourne sur le port 9090 pendant que WebGoat tourne sur le 8080, comme ça, vous avez vraiment la séparation entre ce qui se passe côté victime et côté attaquant. WebWolf vous permet également d’uploader vos payloads ou outils, de recevoir des données exfiltrées, et même de simuler un serveur mail pour les attaques de phishing.
Et pour installer tout ça, le plus simple c’est Docker :
docker run -it -p 127.0.0.1:8080:8080 -p 127.0.0.1:9090:9090 webgoat/webgoat
Ou si vous préférez la version standalone avec Java :
java -Dfile.encoding=UTF-8 -jar webgoat-2025.3.jar
Une fois lancé, vous accédez à WebGoat sur http://localhost:8080/WebGoat et WebWolf sur http://localhost:9090/WebWolf. Vous vous créez un compte (c’est juste en local, pas de panique) et c’est parti pour les exercices !
Les leçons sont vraiment bien foutues. Prenez l’injection SQL par exemple. D’abord on vous montre comment une requête SQL mal protégée peut être détournée. Ensuite vous devez exploiter la faille pour voler des numéros de cartes bancaires (fausses, hein), et à la fin, on vous explique comment utiliser les prepared statements pour éviter ce genre de conneries.
Et n’allez pas croire que ça s’adresse uniquement aux pro. Non, les débutants ont des exercices guidés avec des indices, et les plus avancés ont des “challenges” sans aucune aide semblables à des CTF (Capture The Flag).
Et pour les développeurs, c’est vraiment un super outil pour comprendre pourquoi votre chef de projet vous casse encore les pieds avec la sécurité ! Car, croyez-moi, une fois que vous avez réussi à dumper toute une base de données avec une simple apostrophe dans un formulaire, vous ne regardez plus jamais les entrées utilisateur de la même façon.
Attention quand même, WebGoat n’est pas un jouet. Les techniques que vous apprenez sont réelles et fonctionneront sur de vrais sites mal sécurisés. D’ailleurs, l’OWASP est très clair là-dessus : “Si vous tentez ces techniques sans autorisation, vous allez très probablement vous faire choper”. Et n’oubliez pas, comme vous ne faites partie d’aucun parti politique, pour vous y’aura vraiment de la zonzon.
D’ailleurs, petite conseil, quand vous faites tourner WebGoat, coupez votre connexion internet ou au moins assurez-vous qu’il n’écoute que sur localhost, parce que si quelqu’un d’autre sur votre réseau découvre que vous avez une application volontairement vulnérable qui tourne… Disons que ça pourrait mal finir ;-).
Ah et WebGoat s’intègre super bien avec d’autres outils de sécurité. Ça permet du coup de se former aussi dans la foulée sur Burp Suite, OWASP ZAP, ou SQLMap.
Bref, installez WebGoat ce weekend et amusez-vous à tout casser. Vous m’en direz des nouvelles !!
Et un grand merci à Letsar pour l’info !
Bertrand, fidèle lecteur de mon site m’a envoyé un super projet ! Il a développé des PCB open source pour moderniser les Famicom japonaises et comme j’ai trouvé ça trop cool, je me suis dit que j’allais en faire un article.
Alors pour ceux qui ne connaissent pas, la Famicom c’est la version japonaise de la NES, sortie en 1983. C’est une petite console rouge et blanche avec les manettes intégrées, super mignonne mais avec un défaut majeur : elle sort uniquement en signal RF . Et le RF en 2025 sur nos télés modernes, c’est l’enfer… Image dégueulasse, interférences, et certaines télés refusent carrément de l’afficher parce que le signal RF japonais utilise les canaux 95-96 au lieu des canaux 3-4 occidentaux.
Bertrand a donc créé Famicom-OpenAV , deux petits PCB qui permettent d’ajouter une sortie AV composite à votre Famicom. Comme ça, exit le RF pourri, et bonjour l’image propre !
Bertrand propose donc deux versions selon vos préférences de soudure. La version DIP avec des composants traversants old school pour ceux qui ont appris à souder sur des kits Radio Shack dans les années 80. Et une version SMD avec des composants montés en surface, plus compacte et moderne pour les jeunes qui n’ont pas peur des pattes de mouche et qui maitrisent le flux ^^.
Ses PCB ont été testés sur les modèles de carte mère Famicom HVC-CPU-07 et HVC-CPU-GPM-02 et y’a pas besoin de percer la console ou de faire des modifications irréversibles… Ce sont juste quelques points de soudure bien placés et hop, votre Famicom crache du composite propre.
Ce mod est important car le signal RF de la Famicom génère souvent des “jailbars”, des lignes verticales bien chiantes qui gâchent l’image. Cela est dû à l’alimentation bruyante de la console et au fait que les traces du circuit imprimé qui transportent le signal vidéo passent juste à côté de lignes électriques parasitées. Les vieilles puces NMOS de l’époque émettent aussi pas mal d’interférences RF.
Avec le mod AV de Bertrand, on récupère donc directement le signal composite natif NTSC depuis la pin 21 du PPU (le processeur graphique de la Famicom). C’est le signal le plus propre qu’on puisse obtenir sans passer par des mods plus complexes comme le NESRGB qui coûte une fortune.
Maintenant pour créer ces PCB, c’est super simple. Bertrand fournit les fichiers Gerber sur son GitHub, vous les envoyez à un fabricant comme JLCPCB ou PCBWay , et pour quelques euros, vous recevrez 5 PCB. Après il faut acheter les composants électroniques (quelques résistances, condensateurs, transistors) mais au total, on s’en sort pour moins de 10 balle par console modifiée.
Bref, pour les collectionneurs et les joueurs, c’est vraiment un super mod car la Famicom a une bibliothèque exclusive au Japon avec des jeux qui ne sont jamais sortis sur la NES occidentale. Je pense par exemple aux Famicom Disk System exclusives, aux cartouches avec puces sonores supplémentaires comme Castlevania III japonais qui sonne différemment de la version US. Avec ce mod, vous pourrez enfin profiter de ces jeux dans de bonnes conditions sur une télé moderne ou via un upscaler type RetroTink .
Encore merci à Bertrand pour ce projet et pour m’avoir contacté et si vous aussi vous avez des projets DIY cools à partager, n’hésitez pas à m’envoyer un mail !
Microsoft revealed a remake of the classic video wallpaper feature DreamScene for Windows just yesterday. Today, Microsoft is confirming that recent versions of its Windows 11 operating system are plagued by a video playback issue.
Microsoft reveals information about the issue on the known issues and notifications page of Windows 11, version 24H2. Windows users who run the most recent version of Windows 11 on their devices may "experience problems playing protected content" writes Microsoft on the page.
The issue may occur after installing the non-security preview update of August 29, 2025 or later updates. Microsoft released the September 2025 cumulative update for Windows 11, version 24H2 on Tuesday 9, 2025 to the public.
Microsoft explains that the issue affects applications that use Enhanced Video Renderer with HDCP enforcement, or Digital Rights Management (DRM) for digital audio. Users may "experience copyright protection errors", such as "frequent playback interruptions, freezing, or black screens" according to Microsoft.
However, the issue does not affect video streaming services such as Netflix, Hulu, or HBO Max. In other words, the issue is affecting media playback apps, for instance DVD or Blu-Ray playing apps, or digital TV apps.
Enhanced Video Renderer is a legacy component that is replaced by Simple Video Renderer (SVR). This component is part of MediaPlayer and IMFMediaEngine. Microsoft does not name-shame any apps that still rely on the legacy component for playback. The apps affected by the issue are unknown because of this.
Microsoft says that it is working on a resolution for the issue. It plans to release updated information in the future, "when it is available". Affected users have just a few options at this point:
Options one and two should fix the issue on the user's device, but they come with problems of their own. Uninstalling the September 2025 patch leaves the operating system vulnerable to potential attacks targeting the vulnerabilities that Microsoft fixed in the update.
Switching to another app may work, but since Microsoft did not provide a list of apps that are affected or do work, it is a hit-and-miss kind of situation. The developer of an app might provide an update to address the issue, for instance, by moving from using Enhanced Video Renderer to Simple Video Renderer.
All in all, the best option for most users is to sit this one out and wait for an official patch to arrive.
Now You: do you watch DRM-protected content on your Windows desktops? Are you affected by the issue? Feel free to leave a comment down below.
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La direction de The Hongkong and Shanghai Hotels, Limited (HSH), propriétaire et exploitant de The Peninsula Hotels, a le plaisir d'annoncer la nomination de M. Julien Munoz aux fonctions de Chief Commercial Officer du Groupe, à compter du 12 novembre 2025. À ce poste, Julien Munoz supervisera les équipes commerciales et marketing du Groupe et sera directement rattaché à Benjamin Vuchot, Chief Executive Officer. Il rejoindra également le Management Board du Groupe.
Fort de plus de 25 ans (...)
Microsoft has quietly introduced a way to allow users to test experimental features. You can opt in to the Windows AI Lab.
Last week, Windows Latest reported that Microsoft was testing Windows AI Labs. The feature was spotted in Microsoft Paint, which displayed a pop-up that said, "Try experimental AI features in paint". It had an option to sign up for the Windows AI Labs program for paint from the app's settings.
(Image courtesy: Windows Latest)
The settings page had 2 buttons, Sign up, to discover the new AI-powered tools in Paint, and share feedback about the features. It also had a "Not interested" button, to dismiss the message.
So, is this available in the Windows 11 stable version? Or is it exclusive for Insiders? I couldn't find any information about this, so I just checked the Paint app version number seen in the screenshot, Paint 11.2508.361.0. That's the one I wrote about a few days ago, it was released for Windows Insiders and introduced the option to save your work as a project. Based on that, this AI labs feature is likely only for Windows Insiders on a Canary or Dev Channel build of Windows 11, and not for stable users.
Today, Microsoft told The Verge in a statement that "The Windows AI Lab is a pilot acceleration program for validating novel AI feature ideas on Windows. The program focuses on rapid customer feedback on feature usability, customer interest, and market fit."
An official confirmation is good, this is essentially a pre-release update program to provide early access to features that are being tested, and may not make it to the final version. Now, I still can't find any documentation regarding the Windows AI Labs program. That's rather odd. It's unclear why this Windows AI Lab has only been seen in Paint, and not it in Notepad, Snipping Tool, etc., given that those apps were also updated recently.
I think early access to features might have been cool in the pre-AI era, but it's a different story now, not everyone wants to use AI. Do you use Microsoft 365? Well, you should know that Copilot may be installed automatically on your PC, with some exceptions.
What about you? Early access to AI features in Windows apps?
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Google has announced Gemini for Google TV. You can interact with the AI to find what to watch.
Google isn't the first to bring its AI to TVs, Microsoft Copilot for Samsung TVs and monitors was announced a few weeks ago. Google Assistant has allowed you to operate your TV using voice mode, and its features are still there in their relatively simple form.
But Google is cranking things up a notch with AI-powered features, To interact with Gemini on Google TV, say "Hey Google", or press the mic button on your TV's remote. Speak your query out aloud using natural language, and Gemini will respond with relevant suggestions. You can use it to find new shows to watch, catch up on a previous episode or the season.
For example, you could ask it something like, "Find me something to watch with my wife. I like dramas, but she likes lighthearted comedies." And Gemini will display the results on your screen, and also speak to you, telling you more about the suggested content. You can choose to watch the content, or engage in follow-up questions about the topic.
There's more, Google says Gemini on TV can provide a learning experience for children, or help you learn new skills, or provide recipes to cook.
Here's a video that demonstrates how Gemini for Google TV works.
A support page on Google's website says that Gemini for TV is only available in English for users in the U.S. and Canada. French is also supported in Canada.
Gemini for Google TV is available on the TCL QM9K series. Google's announcement says the feature will be available to more TVs this year, including the Google TV Streamer, Walmart onn. 4K Pro, 2025 Hisense U7, U8, and UX models, and 2025 TCL QM7K, QM8K, and X11K models. It is also planning to bring more AI features to Google TV.
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Niché à deux pas des Champs-Élysées, l'Hôtel de Sers poursuit sa récente métamorphose en dévoilant une nouvelle page de son histoire gastronomique. À 29 ans, Stefano Stafie rejoint les équipes en tant que Chef des Cuisines. Sa passion du produit et sa créativité l'amènent à réveiller la cuisine méditerranéenne par de subtils contrastes.
À 29 ans, Stefano Stafie apporte à l'Hôtel de Sers une énergie nouvelle, forgée par un parcours international. Originaire d'Assise, en Italie, il se forme très tôt à l'école (...)
Le groupe Travel Planet, leader du voyage d'affaires et éditeur de solutions technologiques, annonce la nomination de Jean-Baptiste Djebbari au poste de Président de son Conseil Stratégique. Ancien ministre chargé des Transports (2019–2022), Jean-Baptiste Djebbari a marqué l'économie et la politique française par son engagement en faveur de la transition écologique, de la modernisation du secteur ferroviaire et du développement de la mobilité durable.
Diplômé de l'École nationale de l'aviation (...)
Un hôtel chaleureux à l'âme antique, construit en 1987 autour d'une authentique maison arlésienne classée du XIX siècle. Situé en plein centre-ville, il s'inspire de la romanité d'Arles et de la noblesse de la pierre. Anciennement connu sous le nom d'Hôtel Atrium, le désormais Mercure Arles Centre Arènes a ouvert ses portes cet été, entièrement rénové, au 1 rue Émile Fassin, 13200 Arles.
Ce 4 étoiles de charme propose 91 chambres élégantes, pensées comme un hommage à la ville et à son histoire. Dès le hall (...)
San Francisco Travel Association a dévoilé ses prévisions 2025–2026 : portée par ses conventions, grands festivals et événements mondiaux, la ville confirme la vigueur de son économie touristique.
Perspectives 2025 Grâce à un calendrier exceptionnel de conventions et à une programmation riche en grands événements, San Francisco connaît une dynamique positive pour 2025. Le Moscone Center accueillera 34 manifestations, représentant une hausse de 64 % des nuitées par rapport à 2024. Les grands (...)
Profitant de la douceur des températures, juste avant le retour des beaux jours, le Mauricia Beachcomber Resort & Spa s'est offert une rénovation en douceur de sa réception pour incarner avec élégance et charme le sens de l'accueil mauricien. Bienvenue !
Fermé pour travaux pour une durée de deux semaines, du 7 au 21 septembre 2025, l'hôtel Mauricia Beachcomber Resort & Spa a rouvert ses portes avec un tout nouvel espace de réception dans l'air du temps. Le résultat : un espace aux volumes (...)
Vous en avez marre de cliquer sur “Accepter les cookies” à chaque fois que vous visitez un site web ? Du genre vraiment marre, au point de parfois renoncer à lire un article plutôt que de devoir encore cliquer sur ces bannières ? Et bien si j’en crois Mashable , la Commission européenne envisage sérieusement de revoir la directive e-Privacy de 2009 qui nous a imposé cette avalanche de bandeaux moches.
Enfin !!
Il était temps qu’ils se réveillent à Bruxelles, parce que bon, l’intention de départ était louable c’est sûr… Il s’agissait de protéger notre vie privée en nous demandant notre consentement avant de nous traquer. Sauf que dans les faits, on s’est tous retrouvés à cliquer frénétiquement sur “Accepter tout” juste pour pouvoir lire tranquillement notre article. C’est ce qu’on appelle la “cookie fatigue”, et elle a complètement détourné l’objectif initial de la loi, en plus de faire perdre des heures de travail à toute l’économie européenne .
La Commission européenne explore donc plusieurs pistes pour simplifier tout ça. L’idée principale de leurs réflexions, ce serait de permettre aux utilisateurs de définir leurs préférences une bonne fois pour toutes dans les paramètres de leur navigateur. Fini les popups sur chaque site et vos navigateurs Chrome, Firefox, Safari et consorts deviendraient les gardiens de vos préférences cookies. Techniquement, c’est déjà possible avec le Do Not Track, mais personne ne l’utilise vraiment.
Ça m’énerve vraiment de lire ça, car ces bandeaux cookies, c’était vraiment la pire implémentation qu’ils pouvaient mettre en place alors que depuis J-0 tout le monde leur gueule fort dans les oreilles “Mais bande de nazes, faut l’implémenter dans le navigateur”.
Enfin, j’imagine qu’il vaut mieux tard que jamais.
Bref, bientôt les affreux bandeaux cookies qui faisaient mouiller les ayatollahs du RGPD vont disparaitre… quelle bonne nouvelle ! Pour ma part, en ce qui concerne mon site, j’ai écrit à la CNIL (en recommandé svp !) en début d’année pour leur demander leur avis, afin de savoir si je respectais bien le RGPD. Je n’ai jamais eu de réponse de leur part (snif), mais de mon point de vue, de celui de lecteurs dont c’est le métier, de CookieViz , et de ma régie pub, j’étais pas trop mal.
Après, depuis mon courrier à la CNIL y’a eu pas mal de changements quand même. J’sais pas si vous avez suivi mon actu, mais cet été, j’ai notamment retiré le bandeau des cookies.
What ??? Suis-je un vil criminel ?
Non, en fait c’est parce que j’ai supprimé tout ce qui était scripts de stats (Google analytics / Matomo) parce qu’elles n’avaient plus aucun sens vu que tout le monde les bloque… J’utilise également uniquement le player “no-cookies” de Youtube, et j’ai aussi enlevé toutes les bannières de pubs parce que c’est quelque chose que je voulais faire depuis loooongtemps. Ça me fait des revenus en moins c’est sûr (ouille), mais je compte sur mon Patreon pour contrebalancer ça.
C’était pas une décision simple puisqu’un peu risqué, et j’espère que l’avenir me donnera raison. En plus, comme j’ai aussi totalement arrêté de partager mes articles sur mes comptes de réseaux sociaux , ça a provoqué également une jolie petite baisse de trafic. Après, contrairement à mes confrères de la presse tech, je ne suis pas équipé pour faire la course à l’audience vu que je suis à 99% tout seul à écrire, à gérer la technique, le code du site, faire rentrer la thune, et la gestion de ma boite…etc., donc bon, ça ne change pas grand-chose, toutefois ne plus avoir de publicités programmatiques, ça renforce encore cette absence d’enjeux liés au trafic et ça me fait un truc en moins à gérer.
Par conséquent, le site est plus rapide à charger, il est visuellement plus joli (à mon goût), bref, j’en suis très content ! Et ça se ressent sur mes dernières stats (réalisées sans tracking car générées à partir des logs de mon serveur web), puisque mon site a enregistré au mois d’août (le pire mois de l’année à cause des vacances), 1,4 million de visiteurs uniques ! Du coup, je suis assez content et fier parce que ça veut dire que ce que j’écris vous intéresse et ça c’est cool !
Voilà, je referme cette parenthèse sur le meilleur site Tech de France (hein, quoi ?? ^^) pour revenir à cette réforme européenne. Histoire d’avancer un peu, le Danemark a suggéré que les cookies “techniquement nécessaires” ou pour des “statistiques simples” ne devraient plus nécessiter de consentement. Ça paraît logique, mais faut pas oublier quand même que malgré tout, les données s’envolent aux États-Unis la plupart du temps (je pense à Google Analytics) et ça, c’est pas cool, donc j’espère qu’ils resteront vigilants là-dessus, même pour de simples stats.
De leur côté, les lobbyistes de l’industrie Tech poussent fort pour avoir plus de marge de manœuvre afin de décider eux-mêmes de ce qui nécessite un consentement ou pas (lol, tu m’étonnes), mais forcément, les défenseurs de la vie privée tirent la sonnette d’alarme et je les rejoins là-dessus ! En effet, ces derniers craignent qu’on donne trop de pouvoir aux entreprises et qu’on se retrouve avec encore plus de tracking qu’avant, mais cette fois, sans qu’on le sache.
Du coup, la vraie question pour le régulateur c’est de trouver l’équilibre entre une bonne protection de la vie privée et une expérience utilisateur fonctionnelle. Pas simple, mais le Do Not Track (ou un équivalent) pourra aider.
Bref, est-ce qu’on verra disparaître ces satanées bannières RGPD ? Peut-être pas complètement, mais on pourrait au moins avoir quelque chose de plus intelligent qui permettrait de configurer une seule fois vos préférences dans Firefox ou Chrome, et hop, tous les sites respecteront automatiquement vos choix. Comme ça, plus besoin de cliquer sur quoi que ce soit… Les cookies strictement nécessaires passeront alors directement et les cookies marketing seront bloqués si vous l’avez décidé.
Comme ça tout le monde sera content… enfin, j’imagine ?
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