Apple is reportedly working on a new version of Siri, which is powered by Google Gemini. A report by Bloomberg's Mark Gurman says that the Cupertino company will pay Google $1 Billion per year for using its tech.
This shouldn't come as a big surprise, since Apple has an agreement worth $20 Billion a year with Google to use its search engine as the default in Safari. It also wants to add AI search engines to Safari.
Apple has fumbled AI badly, and Siri powered by Apple Intelligence on iPhone, iPad and Mac is nowhere close to what was promised. Meanwhile, OpenAI, Microsoft, Google have been very successful with their own AI services. After integrating ChatGPT in Apple Intelligence and Siri, Apple had decided to explore using third-parties to power Siri's capabilities, while it continued working on its own models, a 1-trillion parameter model is expected to be launched next year. The Cupertino company had tested various solutions including OpenAI's ChatGPT, Anthropic Claude, and Google Gemini.
Apple's CEO, Tim Cook, had told CNBC last week that the company is targeting a 2026 release for the next-gen Siri, and that Apple is looking at more partnerships with AI services. That checks out with what Gurman says, the new voice assistant powered by Google Gemini could be released as part of the iOS 26.4 update in Spring 2026, and is code-named Linwood.
He mentioned that Apple will use a custom Gemini system, meaning Google will build a special version of its AI. Apple has already allocated AI server hardware for hosting the model, and it will run on Apple's Private Cloud Compute servers.
This custom AI model made by Google supports 1.2 Trillion parameters, compared to the 150 Billion parameter model that powers Apple Intelligence. Google's Gemini model will be used to power Siri’s summarizer and planner, these help the voice assistant synthesize information, and execute complex tasks. Apple's own AI models will still be used for some of Siri's features.
Gurman says Apple will not promote this partnership publicly, and will treat Google as a behind-the-scenes technology supplier instead. Gee, I wonder why!
Some users weren't too pleased about the news. Apple loves to say it cares about the privacy of users, we always take a privacy-first approach, your data is yours, even we don't know what you access on your device. This new partnership with Google (and the Search deal) could make people feel otherwise, despite the AI being a custom model running on Apple's servers.
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Vous vous êtes déjà demandé comment on est passé de six extensions de domaine en 1985 à plusieurs milliers aujourd’hui ? Ou qui a enregistré le tout premier .com de l’histoire ? Hé bien vous allez pouvoir découvrir tout ça grâce au site dotcom.press qui a compilé 40 ans d’histoire des noms de domaine dans une chronologie interactive plutôt bien foutue.
Si comme moi, vous aimez vous plonger dans l’Histoire d’Internet, allez jeter un œil !
L’idée du projet, c’est donc de raconter l’évolution technique et humaine du web à travers le prisme des noms de domaine. Car derrière chaque .com, .org ou .net, il y a une histoire faite de batailles juridiques, de décisions politiques, d’arnaques monumentales, et parfois d’anecdotes complètement WTF.
La page couvre la période allant de 1983 à 2026, avec des événements clés présentés chronologiquement. Vous découvrirez par exemple que les 5 premières extensions (.com, .org, .edu, .gov, .mil) ont été définies en octobre 1984 dans la RFC 920, mais n’ont été mises en ligne qu’en 1985 accompagné de .net ajouté sur le tard. Ou encore que Network Solutions a eu le monopole complet de l’enregistrement des domaines jusqu’en 1999, quand l’ICANN a fini par leur imposer de la concurrence.
Le site explique aussi les enjeux autour des noms de domaine. Par exemple pourquoi Verisign détient toujours le monopole du .com et du .net en 2025, avec plus de 170 millions de domaines enregistrés et 1,5 milliard de dollars de revenus annuels. Ou comment le prix de gros d’un domaine est passé de 100 dollars dans les années 90 à 9 dollars en 1999, puis 6 dollars en 2000.
Il y a aussi des trucs plus exotiques comme l’histoire du .yu yougoslave volé pendant les guerres des Balkans ou comment voice.com a été acheté pour 30 millions de dollars en 2019, et n’affiche aujourd’hui qu’un texte moche et une adresse email.
Bref c’est une super timeline avec des images d’époque, des citations d’experts comme Tim Berners-Lee (évidemment), et des liens vers des tas de ressources complémentaires si vous voulez creuser un sujet.
Voilà, je me suis dit que si vous enseignez l’informatique, ou si vous bossez dans le web, ça devrait vous plaire.
[Bonne lecture !]( https://www.dotcom.press/history-of-domains
Sale temps en ce moment pour les citoyens américains… Vous avez votre certificat de naissance dans la poche, vous êtes un vrai américain pur et dur. Mais un agent ICE sort son smartphone, scanne votre visage en moins de 2 secondes, et une app officielle lui dit que vous êtes un étranger et que vous n’avez rien à faire là.
C’est faux évidemment, mais devinez qui a raison ?
Hé bien c’est pas vous !
Mobile Fortify , c’est donc l’app que l’ICE (police de l’immigration) et la Border Patrol américaine (l’équivalent de la police aux frontières) ont déployée sur leurs smartphones l’année dernière. Une app de reconnaissance faciale qui tape dans une banque de 200 millions d’images et des dizaines de bases de données gouvernementales : FBI, State Department, DMV, passeports, visas, fichiers criminels, tout y passe et en temps réel s’il vous plaît.
L’app s’appuie principalement sur une fonction baptisée “Super Query”. En gros, un agent de police pointe son téléphone vers votre visage, l’app le scanne, et hop il obtient votre nom complet, votre date de naissance, votre nationalité, votre statut d’immigration, votre casier judiciaire, et tous vos numéros d’identification uniques. Tout ça en quelques secondes et sans votre consentement.
C’est moche. Et même si vous avez vos papiers ou un certificat de naissance, on a appris via le démocrate Bennie Thompson, élu à la Chambre des représentants, que les agents peuvent ignorer tout ça volontairement. Un pauvre algo stupide prime sur un document d’état civil officiel. C’est dingue non ?
D’ailleurs, plusieurs vidéos ont commencé à circuler dès octobre dernier. Par exemple à Chicago, des agents de la Border Patrol arrêtent deux ados à vélo . L’un d’eux n’a pas sa pièce d’identité alors l’agent demande à son collègue : “Can you do facial ?” et le collègue sort son smartphone, scanne le visage du gamin (mineur), sans aucune autorisation parentale évidemment.
Autre vidéo, toujours à Chicago, un automobiliste refuse de montrer sa carte d’identité . C’est son droit constitutionnel le plus pur, mais l’agent pointe quand même son téléphone vers lui. Le type proteste : “I’m an American citizen, so leave me alone.” Réponse de l’agent : “Alright, we just got to verify that.” Et il lui scanne la tronche.
Le document interne du DHS (U.S. Department of Homeland Security) est très clair : “ICE does not provide the opportunity for individuals to decline or consent to the collection and use of biometric data/photograph collection.” Traduction : on scanne d’abord, on demande jamais. Et votre visage, qu’il soit scanné par erreur ou pas, restera stocké 15 ans dans les bases de données fédérales.
Jeramie Scott, de l’ Electronic Privacy Information Center , appelle ça une “dérive dystopique pure”. Quatre sénateurs américains, dont Edward Markey, ont également envoyé une lettre à l’ICE en septembre dernier pour exiger l’arrêt immédiat de l’utilisation de Mobile Fortify. Ils y réclament la divulgation complète de la base juridique de l’app, de sa précision, et des contrôles en place.
Mais bien sûr, silence radio de la part de l’ICE.
Bon, rien de nouveau dans la reconnaissance faciale en soi. Ce qui est nouveau vraiment ici, c’est la portabilité de cette techno, l’agrégation instantanée de dizaines de bases de données, et surtout le déploiement sur le terrain sans cadre légal clair. Et surtout c’est l’inversion totale de la preuve où un algorithme devient plus fiable qu’un document officiel.
Et si je vous en parle, c’est parce que ce genre de dérives ne reste jamais confiné aux États-Unis. En Europe, en France, nos gouvernements lorgnent déjà sur ces technologies. Il y a des garde-fous, certes, mais la pression sécuritaire est constante et ces outils se normalisent petit à petit. À l’heure où certains fous rêvent de faire de la France le pays le plus répressif d’Europe, ce glissement vers la techno-police devient franchement flippant.
Bref, le problème n’est ni technique, ni culturel, ni géographique. Il est politique. Et nous devons rester vigilants pour que ce cauchemar dystopique ne débarque pas jusqu’ici. Parce qu’une fois qu’on laissera ces algorithmes décider de quelle est notre identité, on sera foutu.
In the past couple of years, advertising giant Google has started to squeeze more ads and new ad formats into YouTube in order to drive up revenue.
This culminated in efforts to block content blockers outright or make the usage of such tools laborious. Even subscribers, those who pay Google money for seeing less ads on the site (Premium Lite) started to see more ads as a consequence.
In addition, Google started to use AI to drive up revenue further, for instance to make sure that advertisement would be shown at the most annoying moments.
You shall not pass: view the adNow, reports are coming in that Google has once again made a change that is making things worse for users of the platform. X-User and founder of Adsquire Anthony Higman noticed that YouTube prevented him from closing the side panel on YouTube on mobile, something that was possible previously.
YouTube may use the side panel to show ads to the user while a video plays. Previously, users could activate the close icon to hide the side panel and watch the video without it taking up half the screen, says Higman.
The ads sidebar is used by YouTube to display products or sitelinks. It may show ads related to products discussed in the video, but may also show other ads that YouTube considers a good fit for the particular user.
As always, it is unclear if the change is rolling out to all users or if YouTube is just testing it and analyzing reactions.
YouTube's annual revenue has grown significantly in the past seven years. In 2018, YouTube recorded an ad-revenue of $11.1 billion. Six years later, the reported revenue grew to $36.1 billion. In other words, Google more than tripled the revenue of YouTube. YouTube Premium subscriptions added another $14.5 billion to the revenue in 2024.
What you can doWhile most YouTube users may not mind the occasional advertisement, as it helps finance the service, most appear annoyed by the sheer number of ads, less and less control over ads on the platform, and a supply of scam ads that appear endless.
Other than subscribing to YouTube Premium, you could start using third-party apps and browsers to access content on YouTube.
Here are a few options:
Now You: do you watch videos on YouTube? Are you a subscriber, sit through ads, or use different means to bypass or block ads? Feel free to leave a comment down below.
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Valve has announced a new feature for Steam Deck. The handheld can now continue downloading games even when the screen is off.
Odd isn't it. How was this feature not available previously? It is a battery-powered handheld gaming console, and having the display on during game downloads is only going to consume a lot of power, and possibly make the device run warmer. It seems a little silly that they didn't add this power-saving feature until now. Well, it's better late than never.
Prior to this update, the Steam Deck would pause game downloads when the screen went to sleep or stand by mode. You can control the new behavior, so this option is still available.
When you start a download, or if a download is in-progress, and you press the power button on the Steam Deck, it will ask you whether it should continue downloading with the screen off. Valve says that choosing to continue with downloading will let the Steam Deck complete active downloads using a new display-off power mode, before it goes to sleep. This option is enabled by default when the device is connected to a charger, users can manage it from the Settings > Power. You can enable it to download games on Battery Power too. If your Steam Deck's battery falls below 20%, the device will enter sleep mode.
If your device is idle while downloading a game, it will continue downloading the content after an idle timeout (to turn off the screen). When you wake up the handheld, you will see the download progress as seen in the image. Users can choose to wake up the console fully, or let it finish downloading when the display is off.
(Images via Valve/Steam)
Valve's announcement says that display-off downloads are available on the Steam Deck in the Beta and Preview channels. It may take a while before the feature is introduced in the Stable release.
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OpenAI's AI video generator app, Sora, is now available on Android. But, it's only available in a few Countries.
OpenAI had launched Sora in late 2024, for the web. In September 2025, an iOS version of the app was released, with the Sora 2 model. Sora hit the 1 million download mark in less than 5 days.
Users can browse videos that were generated by others in a vertical feed, or create a new 10-second video with audio. Sora supports text prompts and can also use images that the user selects, to generate a video. Sora's Cameo feature lets you create videos using your likeness, or anyone else's who has given their consent to OpenAI. It didn't take long for users to abuse the system, and create videos that violated copyright content. In fact, the Japanese government had asked OpenAI not to engage in any actions that could constitute copyright infringement.
A Cabinet minister had even pointed out that anime and manga are irreplaceable treasures. The message was about preserving the originality of the art, and keeping it away from generative AI. This is not the first time OpenAI has been found infringing copyrights, the previous notable outcry was about the AI copying Studio Ghibli's art style for creating images based on user prompts.
OpenAI's Sora video generator for Android is available on the Google Play Store in the following Countries: Canada, Japan, Korea, Taiwan, Thailand, US, Vietnam. The iOS version is also available in these regions. Engadget reports that the iOS app requires an invitation, but it appears the Android version has been released on a wider basis. OpenAI had announced that users in the US, Canada, Japan, and Korea can access the Sora app without an invitation code, for a limited time. It's unclear when the company plans to expand access to the app for other regions.
Sora is free to use for now. It will likely require a subscription, or be bundled into a ChatGPT paid plan in the future.
Do you like AI generated videos?
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En mai de cette année, des étudiants de Purdue ont battu le record du monde du robot résolveur de Rubik’s Cube grâce à leur machine, Purdubik’s Cube qui a torché un cube en 0.103 secondes !! Plus rapide que moi mais surtout plus rapide qu’un clin d’œil !
Et pendant ce temps, un autre passionné de Rubik’s Cube, Vindar , bossait tranquillement sur SARCASM , un autre robot qui résout aussi des Rubik’s Cubes, sauf que lui, il prend son temps ! Et surtout, il vous clashe pendant qu’il le fait. Il a une voix, des animations, un système d’humeur, et une personnalité de collègue insupportable ! Il est lent, il est sarcastique, il est inutilement compliqué, et c’est exactement pour ça qu’il est génial, vous allez voir !
SARCASM, ça veut dire Slightly Annoying Rubik’s Cube Automatic Solving Machine . Déjà rien que le nom c’est tout un programme. Et ce robot n’a qu’un seul objectif : résoudre des cubes en étant légèrement casse couilles. Pas hyper rapide, pas hyper efficace, juste chiant ce qu’il faut.
Le projet a démarré pendant COVID, quand tout le monde était enfermé chez soi à chercher des trucs à faire. Certains comme moi ont fait de la brioche, d’autres ont regardé Netflix en boucle et Vindar, lui, s’est dit qu’il allait créer un robot qui insulte les gens. Et nous voilà, 5 ans avec un robot qui vanne. Oui, Vindar est du genre persévérant !
Votre navigateur ne supporte pas la lecture de vidéos HTML5. Voici un <a href="/sarcasm-robot-rubiks-cube-sarcastique-insultant/sarcasm-robot-rubiks-cube-sarcastique-insultant-1.mp4">lien vers la vidéo</a>.Techniquement, SARCASM est un concentré de tech aussi cool qu’absurde. Le cerveau, c’est un Teensy 4.1, un microcontrôleur ARM Cortex-M7 qui tourne à 600 MHz. Pour la vision, il a utilisé une ESP32-CAM qui capture l’état du cubeet un écran ILI9341 pour afficher une tête avec des animations lip-sync. Des moteurs pas à pas (je crois que c’est comme ça qu’on dit ^^) et des servos pour manipuler le cube, des capteurs de position, un chouette éclairage RGBW, deux batteries 18650 Li-ion avec un port de charge USB-C et il a calé tout ça dans un boîtier imprimé en 3D avec un PCB custom.
Mais le logiciel les amis, c’est là que ça devient vraiment foufou car y’a du text-to-speech avec espeak-ng, des graphiques 2D et 3D custom, des animations qui bougent en temps réel et même comme je vous le disais, un système de dialogues basé sur l’humeur du robot, avec randomisation pour que chaque interaction soit différente.
Evidemment, SARCASM dispose aussi d’un algorithme de résolution du cube avec du décodage JPEG en temps réel pour la reconnaissance des couleurs, du multithreading avec gestion d’interruptions, bref, tout ce qu’il faut pour résoudre des Rubik’s Cube et créer une personnalité à cette machine.
Le robot détecte même quand vous vous foirez en manipulant le cube, juste pour pouvoir vous clasher dessus. Chaque détail technique sert un seul objectif qui est de rendre cette machine “vivante”.
Pour faire tenir tout ça, Vindar a dû modifier le noyau du Teensy. Parce que oui, même avec 600 MHz et un ARM Cortex-M7, il fallait optimiser pour que tout rentre dans la RAM et il a mis tout son code en open-source, sous licence GPL-3.0. Après, comme le précise le dev, son code est incomplet et bordélique mais bon, ça fonctionne…
Et surtout, le robot est autonome. Vous posez un cube standard dessus, il le scanne, il calcule, il résout, tout ça offline sans API ou service de cloud.
Le projet a été présenté en détails sur le forum PJRC , la communauté autour des cartes Teensy et les retours sont unanimement positifs ! Puis au moment, celui-là on s’en souviendra !
Merci à Lorenper pour le partage de cette découverte !
Lors de la cérémonie de remise des SETT d'Or 2025, organisée le mardi 4 novembre à 18h dans le cadre du Salon Européen des Tendances Touristiques (SETT), en partenariat avec le magazine Décisions HPA, un jury de professionnels a distingué 5 entreprises parmi les 63 participantes françaises et européennes. Ces trophées récompensent les solutions les plus innovantes et prometteuses, au service de l'évolution de l'hôtellerie de plein air et de l'accueil touristique.
Parmi les innovations en lice cette année, (...)
Alors que les températures baissent en France, la Dominique, « l'île nature » des Caraïbes, invite les voyageurs français en quête d'aventure, de bien-être et d'expériences culturelles authentiques à choisir cette île enchanteresse pour leur prochaine escapade hivernale.
Idéale pour les voyageurs qui souhaitent donner plus de sens à leur séjour qu'un simple séjour farniente, la Dominique offre un décor parfait pour se reconnecter avec ses proches, en écho à sa nouvelle campagne intitulée « Nature of Love. (...)
Le Groupe Nemea engage une nouvelle étape de son développement en se concentrant sur l'habitat urbain (Hôtels, résidences hôtelières, résidences étudiantes, coliving et résidences mixtes) afin de renforcer sa performance et sa capacité d'innovation. Dans cette logique de spécialisation, son activité tourisme est cédée à Goélia, acteur familial indépendant reconnu pour son expertise dans la gestion de résidences de vacances.
Une stratégie claire de spécialisation Depuis plus de 30 ans, Nemea s'impose comme un (...)
Apple has released the iOS 26.1, macOS 26.1, iPadOS 26.1 updates. You can now reduce the transparency effect of Liquid Glass.
On iOS 26.1 and iPadOS 26.1, head to the Settings > Display & Brightness > and tap the option that says "Liquid Glass". Now, select Tinted. The option can be found under Settings > Appearance > Liquid Glass on macOS Tahoe 26.1. It doesn't completely reduce the transparency effect, but it's better than nothing.
And the updates are not just about Liquid Glass. Apple Intelligence is now available for the following languages: Chinese (traditional), Danish, Dutch, Norwegian, Portuguese (Portugal), Swedish, Turkish, and Vietnamese. Live Translation with AirPods support for Chinese (Simplified and traditional), Japanese, Korean and Italian.
The Apple Music app supports a new gesture that lets you swipe left/right on the miniplayer to change the track. AutoMix is now supported over
AirPlay. Users can now log their workouts manually in the Fitness app. Communication Safety and Web content filters to limit adult websites are now enabled by default for existing child accounts for ages 13-17, this based on the Country/region.
Ever tried to swipe on a notification on the Lock Screen, but accidentally opened the Camera app instead? You may like this. Users can now turn off the swipe gesture to open the Camera. To do so, open the Settings > Camera > and tap on "Lock Screen Swipe to Open Camera". You will still be able to access the Camera by long-pressing tapping on its button on the Lock Screen.
There is a new option under Settings > General > called Local Capture. This allows you to set the folder where video and audio recordings are saved, and it also has an audio-only toggle, if you don't want to record your screen during video calls. Gain control is available for external USB microphones when recording with local capture. Apple says it has improved FaceTime audio quality in low-bandwidth conditions
The name change from Apple TV+ to Apple TV is live, along with a new icon for the app.
iOS 26.1, iPadOS 26.1 and macOS Tahoe 26.1 come with a bunch of security fixes. Apple has also released macOS Sequoia 15.7.2, macOS Sonoma 14.8.2, Safari 26.1 with some patches for security vulnerabilities. None of these issues were actively exploited, aka no zero-day threats. But it's still a good to install the latest security updates to your devices safe.
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Amadeus s'apprête à nommer Rongrong Hu au poste de Senior Vice President of Corporate Strategy.
D'origine chinoise, Mme Hu a précédemment occupé les fonctions de Senior Director of Innovation, M&A, and Business Development EMEA & Chief Strategy Officer, Greater China chez eBay. Au cours de sa carrière, elle a également occupé des postes chez McKinsey et CITC Capital.
Mme Hu a récemment travaillé comme investisseur en capital-risque dans le secteur des technologies. Elle est également membre non (...)
If you have worked on a PC with Microsoft's Windows 10 or Windows 11 operating system, you may have encountered a bug that could occur during system updates. Windows offers two main options when it comes to updating: "update and restart", or "update and shut down".
The bug caused the system in the second case to restart instead of shutting down. This usually meant that you had to run the shutdown command again to shut down the PC, sometimes in the morning or at a later point in time, if you did not wait for the initial operation to complete. This could lead to some frustrating experience, especially if you did not wait for the operation to complete and got back hours later to the PC noticing that it never shut down.
Microsoft says it has fixed the issue, but does not provide an explanationMicrosoft claims now that it has identified the root cause of the bug and fixed it. The information is found in the preview update for Windows 11, version 25H2 and version 24H2 on the official Microsoft Support website.
There, Microsoft writes: "Improved: Addressed underlying issue which can cause “Update and shutdown” to not actually shut down your PC after updating."
Microsoft did not explain the bug or provide information about it. Its cause is unclear therefore.
Here is what you need to know:
Once the change is applied, Windows should shut down properly after the installation of an update, if the shutdown option is selected.
Microsoft won't release a fix for its Windows 10 operating system, despite it also being affected by the issue.
Now You: Did you ran into the issue previously while updating your Windows PCs? Feel free to leave a comment down below.
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Vous avez besoin de partager un gros fichier avec un pote au travers d’Internet ? Bon, y’a WeTransfer et ce genre de choses mais ça reste limité en taille de fichier et c’est stocké on ne sait où… Après vous pouvez tenter scp en priant pour qu’il n’ait pas 15 couches de NAT, mais bon galère quoi…
Bienvenue dans sur le nouvel Internet, où le peer-to-peer est mort et enterré sous des tonnes de NAT, de pare-feu et de FAI qui bloquent tout. Du coup, on a tous abandonné le P2P pour le cloud et on upload nos fichiers comme des cons, lentement, parfois en payant, au lieu de balancer la sauce en direct.
Heureusement, y’a SendMe qui vient nous rappeler qu’Internet peut fonctionner autrement. C’est un outil de transfert de fichiers qui connecte deux machines directement, sans serveur intermédiaire. Vous lancez sendme send ~/mes_photos, ça génère un ticket unique, vous envoyez ce ticket à votre destinataire, il tape sendme receive blobQmFoo..., et c’est parti mon kiki pour un transfert direct à l’ancienne, device-to-device.
Pas de compte, pas de limite, que dalle à configurer, juste deux machines qui se parlent directement, comme au bon vieux temps !
Le truc cool, c’est que SendMe utilise Iroh , un protocole P2P qui contourne tous les problèmes de NAT et compagnie puisqu’il fonctionne avec un système de “dial by public key” où chaque endpoint a une clé publique unique de 256 bits. Et ensuite, vous vous connectez en utilisant cette clé plutôt qu’une adresse IP.
Quand vous générez un ticket avec SendMe, ce ticket contient la clé publique de votre machine que le destinataire utilise pour se connecter chez vous. Peu importe que vous soyez derrière un NAT, que votre adresse IP change, ou que vous n’ayez aucune idée de ce qu’est un port forwarding. Iroh gère le NAT hole punching automatiquement, et si vraiment la connexion directe est impossible, il passe par un serveur relai en fallback.
Iroh, c’est du QUIC pur jus, un protocole de transport moderne dont je vous ai déjà parlé, qui apporte pas mal de trucs cools comme du chiffrement, de l’authentification par défaut (TLS 1.3), du multiplexage de streams, pas de head-of-line blocking, et connexion en zéro round-trip. Du coup, une fois connecté, les transferts peuvent saturer une connexion 8 Gbps sans problème !
Les fichiers sont ainsi streamés avec vérification Blake3, donc vous êtes sûr de l’intégrité des données et si le transfert est interrompu, pas de problème, il reprend là où il s’était arrêté. Et comme tout passe en chiffrement de bout en bout via QUIC, personne ne peut voir ce qui transite dans les tutubes de votre Internet.
L’installation sur Unix/Linux/macOS, un petit curl et hop, c’est plié :
curl -fsSL https://iroh.computer/sendme.sh | sh
Sur Windows:
iwr https://www.iroh.computer/sendme.ps1 -useb | iex
Vous vous retrouvez avec un binaire sendme prêt à l’emploi.
Maintenant, si vous préférez une interface graphique plutôt que la ligne de commande, il existe aussi AltSendme , une application desktop cross-platform qui utilise le même protocole Iroh. L’app est développée en Rust avec Tauri pour le backend et React + TypeScript pour le frontend et le gros avantage, c’est qu’elle est compatible avec SendMe CLI. Vous pouvez donc générer un ticket avec l’interface graphique et quelqu’un peut le recevoir en ligne de commande, ou vice-versa.
AltSendme ajoute également une couche d’interface utilisateur sympa tout en gardant toute la puissance technique d’Iroh… Même chiffrement de bout en bout (QUIC + TLS 1.3), même NAT hole punching, même vérification Blake3, mêmes téléchargements résumables. C’est dispo sous Windows, macOS (Intel et Apple Silicon), et Linux (deb et AppImage) et comme d’hab, le projet est open-source sous licence AGPL-3.0.
En février dernier, les dev ont ajouté le support navigateur via WebAssembly, ce qui signifie qu’à terme, vous pourrez faire du P2P directement depuis votre navigateur. Ils bossent aussi sur QUIC Multipath, une extension qui permet d’utiliser plusieurs chemins réseau simultanément pour encore plus de performance et de résilience.
L’idée derrière Iroh, c’est donc de redonner aux internautes le contrôle de leurs réseaux plutôt que de tout centraliser comme des teubés sous crack sur des serveurs Amazon, Google ou Microsoft. Ce protocole permet ainsi aux machines de se parler directement, comme Internet était censé fonctionner à l’origine.
SendMe et AltSendme ne sont que deux applications construites sur Iroh et ce protocole lui-même offre d’autres modules comme iroh-blobs (pour le transfert de fichiers verified) et iroh-gossip (pour la communication en temps réel). Vous pourriez donc construire du streaming vidéo avec priorisation de streams, du networking de jeux, de la communication temps réel, ou n’importe quelle app qui a besoin de connexions directes rapides et sécurisées entre devices, avec ce truc.
Merci à Lorenper pour le partage de cette découverte.
Un développeur qui s’ennuyait s’est dit qu’il allait se faire un petit side-projet histoire de s’occuper un peu. Rien de foufou, juste reproduire Screen Studio (30 balles par mois) dans un navigateur et en full gratos pour que tout le monde puisse en profiter !
Et je pense que le gars a créé quelque chose qui va forcement faire grincer pas mal de dents dans l’industrie du screen recording !
Screen Studio, pour ceux qui ne connaissent pas, c’est un peu la Rolls des outils d’enregistrement d’écran sous macOS. Des animations fluides, du zoom automatique, des effets 3D sympas, bref tout ce qu’il faut pour faire des vidéos de démo qui claquent la fesse molle de vos mamans et de vos papas. Le seul problème, c’est que ça coûte un cuy (c’est un rongeur ) et que c’est réservé aux utilisateurs Mac. Et ça, ça laisse quand même pas mal de monde sur le carreau.
Le créateur de Screen Now a donc eu l’idée de faire la même chose, mais gratuit, et utilisable directement dans le navigateur. Comme ça, pas d’installation, pas de compte à créer… Vous ouvrez Chrome (marche pas sous Firefox), vous allez sur le site, et vous lancez l’enregistrement de votre screencast.
La liste des fonctionnalités fait un peu peur parce qu’il y a beaucoup de choses mais vous allez voir c’est très cool. Y’a par exemple la possibilité de mettre votre vidéo d’écran en vue 3D avec perspective, rotation et contrôle d’angle, exactement comme avec les outils pros.
Y’a moyen aussi de mettre des animations d’entrée et de sortie personnalisables avec fade, slide et pop. Y’a aussi de l’upload de backgrounds personnalisés en PNG, JPG ou WebP (et une bonne liste de background proposés par l’outil). Du zoom amélioré avec timeline interactive, du Picture-in-Picture pour votre tête et des effets de flou sur l’arrière-plan de la caméra. La timeline pour le montage propose aussi de la duplication d’éléments.
Vous pouvez même capturer l’audio de votre système en même temps que votre micro, avec mixage automatique pour un son équilibré. Le cropping vidéo gère l’ajustement du ratio et les overlays texte sont entièrement personnalisables.
Le plus dingue, c’est que le projet a bénéficié d’optimisations techniques assez impressionnantes. Le rendering vidéo est maintenant 10 fois plus rapide qu’au début, le sync audio-vidéo a été corrigé pour éliminer 99% des problèmes de freezing à l’export et bien sûr, Screen Now est une PWA (Progressive Web Apps), ce qui signifie que vous pouvez l’installer comme une vraie application sur votre ordinateur tout en gardant les avantages du web.
L’auto-save fonctionne via le stockage du navigateur (local storage) et vous pouvez gérer plusieurs projets et exporter tout ça en MP4 ou GIF avec des réglages de qualité et résolution.
La forme de caméra peut être circulaire en plus des classiques rectangulaire et carrée et il y a des raccourcis clavier pour accélérer le workflow. Bref, tout ce qu’on attend d’un outil semi-pro.
Bref, si vous voulez vous lancer dans le screencast ou tout simplement enregistrer une démo rapide ou une explication dans le cadre d’un dépannage, l’outil est accessible sur screen.now .
Merci à Cg2i pour le partage de cette découverte.
The YouTube app for TV has been updated with some new features. It now supports AI upscaling, shopping QR codes, and more.
A big focus of the latest update is on the back catalog, i.e. older videos since the platform's debut 20 years ago. Naturally, a lot of older videos are of lower quality in terms of video resolution. Remember when Opera browser added a Lucid Mode to make old videos look sharper? Well, the browser uses filters.
YouTube wants to make old videos look better using AI-powered technology. What else were you expecting? YouTube will automatically upscale videos from SD to HD quality. It's starting with videos that were uploaded below 1080p. YouTube says that the original videos will remain intact, creators have complete control over their library.
As Ars Technica points out, this might explain the issue that surfaced in August, when some content creators noticed that their videos looked smudgy. At that time, YouTube did not inform the creators about it, let alone offering an option to opt out of the process. But that's changing, creators can and opt-out of the enhancements. This means that the feature is opt-in, so all older videos below 1080p will be upscaled, unless you opt out. Viewers can also choose to watch the videos in the original resolution, the upscaled versions are labeled as Super Resolution, as seen in the image.
(Image courtesy: Google)
Here's a support page related to video & audio enhancements. YouTube wants to support upscaling to 4K in the near future.
YouTube is increasing its thumbnail file limit from 2MB to 50MB. Yay! High-res weird, clickbait thumbnails. YouTube for TV's homepage will display a user's favorite YouTube channels with immersive previews. They made a mess of it before by prioritizing Shorts, hope this update fixes it. Searching for videos from a channel's page will now prioritize videos from that channel at the top of the results, instead of content from others.
YouTube's announcement says that over the past year, viewers watched 35 Billion hours of shopping related content on its platform. That is sad on so many levels. In order to make the experience simpler, videos that are tagged shopping, will display a shopping QR code that users can scan with their phone's camera to get to the product page quickly, so you don't have to search for it manually. It also says that this experience is currently being tested to "feature products at specific, timed moments within videos". So, creators will be able to highlight the product QR codes during the video.
YouTube's redesigned video player is now available for all users.
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Users are reporting that a bug in Windows 11 is causing the Task Manager to behave erratically when it is closed. The issue seems to have been introduced in the October Preview update.
Microsoft had released KB5067036 as an optional preview update for Windows 11 version 25H2 and 24H2. It ships with Copilot+ PC features such as new Click to Do actions, Voice Access, Agent as well as some improvements for regular PCs including a redesigned Start Menu with a scrollable "All" section, category and grid views, changes to File Explorer, Lock Screen, Taskbar icons, and more. It even fixes an issue related to the Task Manager, where some apps might unexpectedly not be grouped with their processes.
Ironically, the update also breaks the Task Manager. When you open the system monitoring utility, and click on the close button in the corner of the window, it doesn't always close the app. The tool keeps running in the background, though no window is visible. Every time you open Task Manager, it opens a new instance on top of the old one. This means that you can have several copies of the Task Manager running on your PC each of which eats up CPU cycles, memory, and consumes more power.
Windows Latest reported the problem, several users on Reddit say they experienced the issue after installing the optional update. A support article on Microsoft's website confirms that the bug has been acknowledged as a known issue in the KB5067036 update.
Microsoft says that it is investigating the issue, and will release a fix. Meanwhile, as a workaround, it is advising users to not click on the Close button in the Task Manager. Instead, you can click on the Process tab, select Task Manager, and then click on End Task. That's kind of funny. Kill Task Manager using Task Manager.
Or, if you have multiple copies of Task Manager open, you can close them by pasting the following command in a command prompt window: taskkill /im taskmgr.exe /f
On a sidenote, Microsoft will end support for Windows 11 23H2 on November 11, 2025. Users will need to update their PC to Windows 11 version 24H2 or 25H2 to continue receiving security updates.
Have you run into the Task Manager duplication bug?
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En ce magnifique mardi matin, moi et mon mal de crâne, nous avons découvert un truc assez cool qui est un genre de wiki personnel en markdown, comme Obsidian ou Notion, mais avec un super pouvoir qui est que vous pouvez y écrire du code qui s’exécute directement dans vos notes !! Hé oui, du vrai code ! Pas des plugins, pas des extensions, mais du code Lua intégré dans votre texte comme si vos notes étaient devenues un environnement de dev à part entière.
Ça s’appelle SilverBullet , c’est open source (licence MIT), et franchement, si vous avez déjà bidouillé des configs Neovim ou des scripts Redis, vous allez kiffer car c’est beaucoup plus simple ^^.
Ça ressemble à n’importe quel wiki markdown moderne. Vous écrivez vos notes en local, elles sont stockées en fichiers statiques .md, vous avez des liens bidirectionnels pour connecter vos idées, et l’interface est optimisée avec des raccourcis clavier. C’est évidemment une Progressive Web App qui fonctionne 100% hors ligne ( comme expliqué sur leur site ), et vous gardez le contrôle total sur vos données, puisque tout est auto-hébergé sur votre machine ou votre serveur.
Ainsi, avec le scripting Lua intégré, vous pouvez littéralement taper ${10 + 2} dans une note et le résultat s’affichera en temps réel : 12 (vous l’aviez les matheux ?? ^^). Et si vous voulez une liste de vos 5 dernières pages modifiées qui se met à jour automatiquement, suffit d’écrire un petit bout de Lua, et hop, votre wiki devient “vivant”.
Alors oui, je sais ce que vous allez me dire, Obsidian a Dataview, Logseq a ses requêtes en Datalog…etc donc c’est pareil non ?
Et bien pas vraiment parce que Dataview ça vous demande quand même d’apprendre un DSL (Domain Specific Language) avec une syntaxe bizarroïde et de vous palucher les 50 pages de doc. Logseq quand à lui vous balance du Datalog sans trop d’explications. Alors que SilverBullet, lui, vous laisse écrire du Lua. Et le Lua, c’est simple, c’est dispo partout (Neovim, Redis, les addons World of Warcraft, OSB, etc.), c’est documenté, et c’est fait pour être embarqué dans des applications.
Si vous êtes data scientist, vous connaissez sûrement les Jupyter Notebooks qui sont markdown avec du code Python exécutable dedans. Hé bien SilverBullet fait exactement la même chose, mais pour vos notes personnelles. Vos notes ne sont plus des fichiers inertes, mais deviennent des mini-programmes qui peuvent calculer, générer du contenu, réagir à des événements…etc
Tenez par exemple, vous pouvez définir une fonction custom directement dans une page :
-- Additionner deux nombres function adder(a, b) return a + b endEt ensuite l’utiliser n’importe où dans votre wiki avec la syntaxe ${adder(5, 7)}. Vous pouvez créer des commandes personnalisées qui apparaissent aussi dans la palette de commandes (Ctrl+K ou Cmd+K) :
command.define { name = "Insérer signature", run = function() local date = os.date("%Y-%m-%d") editor.insertAtCursor("---\nÉcrit le " .. date, false, true) end }Ou même des slash commands comme dans Notion, mais que vous codez vous-même :
slashCommand.define { name = "todo", run = function() editor.insertAtCursor("- [ ] |^|", false, true) end }Tapez /todo dans votre éditeur, et boum, ça insère une checkbox markdown avec le curseur au bon endroit. Vous voulez un compteur de mots qui s’affiche à chaque sauvegarde ? Un event listener comme ceci suffit :
event.listen { name = "page:save", run = function(e) local content = editor.getText() local word_count = select(2, content:gsub("%S+", "")) editor.flashNotification("Nombre de mots : " .. word_count) end }SilverBullet est développé en TypeScript (frontend avec Preact et CodeMirror 6) et Go (backend) et la doc officielle est disponible ici .
Même si ça fait bientôt 3 ans que c’est en dev, c’est encore un peu jeune et il y a d’ailleurs quelques limitations à connaître. Par exemple, y’a pas de gestion d’upload d’images pour l’instant (vous devez linker des images externes ou les placer manuellement dans le dossier), et comme c’est récent, l’écosystème de plugins n’est pas aussi fourni qu’Obsidian. Mais bon, quand vous pouvez coder vos propres fonctionnalités en Lua directement dans vos notes, la notion de “plugin” devient un peu inutile.
Alors plutôt que de vous expliquer encore pendant 10 paragraphes comment ça fonctionne, voici comment l’installer et tester vous-même.
Téléchargez d’abord le binaire qui correspond à votre OS (macOS, Linux, Windows) en cliquant ici .
Pour macOS et Linux , ouvrez votre terminal et tapez :
chmod +x silverbullet mkdir mes-notes ./silverbullet mes-notesPour Windows, créez un dossier mes-notes, puis lancez dans PowerShell :
.\silverbullet.exe mes-notesLe serveur démarre alors sur le port 3000 par défaut. Ouvrez votre navigateur sur http://localhost:3000 et vous y êtes. Vous pouvez aussi l’installer en Progressive Web App (PWA) pour l’utiliser comme une vraie application desktop, même hors ligne.
Et si vous préférez Docker, c’est encore plus simple :
docker run -p 3000:3000 -v ~/mes-notes:/space ghcr.io/silverbulletmd/silverbullet
Ça fonctionne sur Intel et ARM (Raspberry Pi, Apple Silicon), donc vous pouvez l’héberger sur à peu près n’importe quoi.
Voilà, donc si vous voulez une note qui génère automatiquement un journal de vos tâches incomplètes, une page d’accueil qui affiche vos stats d’écriture du mois ou encore un système de tags auto-généré avec des filtres dynamiques, tout est possible ! Et tout ça en écrivant du Lua directement dans le navigateur, sans plugins chelous.
Une fois que vous aurez goûté à ça, vous verrez que revenir à des notes statiques sera trèèèès compliqué.
Merci à friendly_0day pour m’avoir fait découvrir SilverBullet !
Une fois n'est pas coutume, le groupe 3A Hôtels La Collection s'engage pour la lutte contre le cancer du sein et prend part à la campagne Octobre Rose. Depuis 2019, l'Hôtel West End, l'Hôtel & Résidence Aston La Scala ainsi que l'Hôtel & Plage Beau Rivage récoltent des fonds pour financer les actions de sensibilisation lors de cet événement. En 2023, cette mobilisation avait permis de réunir la somme de 7 904 €, un résultat que le groupe espère dépasser en 2025.
Octobre Rose dans les hôtels Cette (...)
Christophe Decloux succède à Marc Rigaud à la direction générale de IDF Tourisme & Territoires, filiale de Ile-de-France Investissements & Territoires, la société d'économie mixte de la Région Ile-de-France, à compter du 1er novembre 2025. Créée fin 2022, cette structure est dédiée au financement de projets immobiliers dans le secteur du tourisme et des loisirs en Ile-de-France. En moins de trois ans, la société a constitué un portefeuille de 10 projets répartis sur l'ensemble du territoire (...)
- Communiqué de presse / nomination, tourisme, Île-de-France